Après ces élections européennes 3 questions s’imposent :
- Que sont devenus les élans du réveil démocratique français, du peuple de la rue des 3 grandes Manif de 2013 ?
- Nous attendions l’union, nous avons eu la désunion. N’est-ce pas l’erreur politique majeure des responsables ?
- Comment pouvons-nous durablement transformer cet élan démocratique qui sait ce qu’il veut pour les enfants ?
Quand les adultes se disputent, ce sont les enfants qui trinquent ! Les mécontents ont voté FN, on doit les respecter mais leur proposer d’autres voies.
Nous avons perdu de vue l’objectif ultime qui était, et reste, de sauver la filiation : aujourd’hui la loi refuse aux enfants un père ou une mère en lui imposant deux parents de même sexe. De plus la marchandisation des enfants est déjà en marche dans notre pays.
C’est aux lois non écrites qu’il faut obéir quand il s’agit des enfants.
L’Union Sacrée pour les enfants
Recentrons-nous sur l’essentiel : l’Union Sacrée pour les enfants d’abord ! Les enfants sont, pour toutes les familles, les êtres les plus précieux. Les protéger doit rassembler au delà de tous les clivages politiques.
Le Président et le gouvernement ne laissent désormais plus d’autre choix aux familles françaises que celui de se lever, de s’unir, de continuer la RESISTANCE.
Protéger l’avenir des enfants et des familles, c’est préparer dès aujourd’hui de nouveaux responsables politiques pour la prochaine Assemblée nationale :
– Des femmes et des hommes cohérents, courageux, ayant fait leur preuve dans leur vie familiale et professionnelle ;
– Capables de se défendre dans les médias avec des arguments solides sur tous les sujets de société, ancrés dans les racines de l’Europe ;
– Orientés vers le BIEN COMMUN EUROPEEN et en particulier la défense des plus faibles, hors des lobbies petits ou grands qui exploitent trop souvent le peuple.
[blockquote cite= » » type= »center »]La dissension, ça suffit, l’union sacrée, c’est ce qu’il faut construire ![/blockquote]
Pr Henri Joyeux
Ancien président de Familles de France
Membre du CESE