Chers Amis de la Santé,
Les lanceurs d’alerte sont nécessaires dans notre société, surtout en matière de santé publique.
Pour passer des messages de Santé, je suis assez souvent invité par les radios ou les télés et pour être certain de ne pas être coupé et/ou manipulé, je choisis le plus souvent possible le direct.
C’est ainsi que je n’ai qu’à remercier pour leur rigueur et leur honnêteté plusieurs médias ou émissions, comme Michel Drucker et Elise Lucet sur France 2 ou Jean-Jacques Bourdin sur RMC/BFMTV. Je cite chacun d’entre eux en bas de cette lettre. [1]
Vous remarquerez que je ne suis jamais invité dans les émissions de santé de la télévision. Notamment celles présentées par « journalistes-médecins » très astucieusement liés aux lobbies pharmaceutiques chargés de promouvoir leurs produits au nom de la santé. Ils n’aiment pas être dérangés et contestés, considérant détenir la vérité scientifique.
Il en est de même de trois journaux quotidiens SUD-OUEST – LA CROIX et LE FIGARO qui déforment l’information santé, ou passent sous silence des « faits » pourtant essentiels à la santé de leurs lecteurs.
SUD OUEST en AQUITAINE
Le président du Haut Conseil à la Santé Publique m’a agressé personnellement dans une interview donnée à ce journal.
Je m’étais opposé à la proposition par cette institution de vacciner les enfants dès l’âge de 9 ans contre le cancer du col de l’utérus. J’avais lancé une pétition diffusée sur les réseaux sociaux sur ce sujet.
L’information livrée par Sud Ouest était tellement orientée et agressive que j’ai demandé un droit de réponse selon les règles déontologiques en vigueur.
Contacté plusieurs fois par téléphone, Mr Patrick Venries, Directeur de la Rédaction du journal SUD OUEST à Bordeaux m’a répondu après plusieurs mois que le sujet avait été parfaitement traité par son journal et qu’il était désormais trop tard.
Je me dois donc de publier la réponse que SUD OUEST n’a pas daigné diffuser. La pétition signée par près de 400 000 personnes a fait reculer le Haut Conseil ce que Sud Ouest s’est bien gardé de diffuser.
Évidemment, ne vous faites pas d’illusion, les laboratoires très puissants financièrement reviendront à la charge. Ils ont déjà trouvé l’astuce qui permettrait d’élargir les vaccinations au maximum de jeunes en changeant les qualificatifs ”obligatoires” ou ”recommandés” par exigibles. C’est le sujet sur lequel planchent mes collègues de l’Académie de Médecine, fort éloignés pour la plupart du terrain des familles et des patients.
Réponses du Pr H. JOYEUX au Président du Haut Conseil de Santé publique (HCSP) dans son interview du 27 octobre au journal SUD OUEST
« Merci au président du HCSP de préciser que la vaccination contre les papillomavirus responsables d’infections sexuellement transmissibles et de cancers, n’est pas ”encore” obligatoire.
Merci aussi pour sa précision « La dernière (préconisation) date de l’automne et préconise la vaccination gratuite dans les écoles, à partir de 9 ans. C’est vrai. »
Merci enfin de préciser « Nous la préconisons pour lutter contre les inégalités sociales, car beaucoup de femmes de milieux sociaux défavorisés échappent au dépistage, à savoir le frottis. » Pensez-vous donc que ces inégalités sociales vont se perpétuer au point de les faire démarrer dès le primaire ?
Parce que ”l’Australie, l’Angleterre, l’Écosse, le Québec notamment ont déjà pris cette mesure” devrions-nous être comme les moutons de Panurge ?
Quand le Président du HCSP dit « Nous n’avons jamais caché que les vaccins ne couvraient pas la totalité des papillomavirus, or il (Pr HJ) prétend le contraire.”, il m’a manifestement mal lu, car voici mon texte : « Pourtant, les 2 vaccins actuels appelés Gardasil ou Cervarix comportent des risques d’effets indésirables graves, comme tout médicament prescrit à des personnes en bonne santé et plus encore à des enfants. En plus, ils vous cachent qu’ils ne protègent pas à 100 % contre le cancer du col de l’utérus, pas plus de 70% ! » Le président confirme une fois de plus : « Parce qu’il est efficace pour 70 % des papillomavirus ».
Quant au rapport-bénéfice/risque, calculé en termes mathématiques, l’argument n’est pas soutenable, car ce rapport sera toujours positif puisque le nombre de cas de complications est faible par rapport à une masse de population dont le suivi est impossible.
Enfin je reste très frappé par l’argument phare des ”inégalités sociales” présent 4 fois dans son texte, qui entre dans les obsessions gouvernementales dont le seul talent à ce jour est, je le crains et l’observe, de les faire croître au nom de l’Égalité.
En conséquence je ne retire pas la pétition comme cela m’est fortement demandé, bien au contraire je la relance auprès des 17 millions de familles en France. – Pr HJ »
DANS LA CROIX
Pierre Bienvault, journaliste santé à La Croix m’interviewe au sujet des vaccins et accepte, le sujet étant dangereux, que je réponde à ses questions par mail. Je lui envoie donc mes réponses très précises comme prévu.
Son article n’en tient aucun compte. Joint par téléphone, il considère qu’il a complètement informé ses lecteurs évidemment, en occultant pourtant des points essentiels de santé.
Pas question de parler des 59 maladies infectieuses que devraient connaître tous les parents pour les repérer et savoir quels sont les vaccins vraiment utiles et ceux qui ne sont nécessaires que dans des cas très précis.
Même les médecins en ont besoin, car leur formation sur les vaccins à l’université est quasiment nulle ou livrée par les fabricants.
La pétition à propos de l’arnaque des laboratoires pharmaceutiques a dépassé 1million et 20 000 signataires sans la moindre publicité médiatique.
Pierre Bienvault a malgré tout fait état le 12 avril 2016 p.16 « D’un rapport qui dénonce la pratique consistant à faire signer par des médecins universitaires des articles en fait rédigés par des auteurs rémunérés par des laboratoires. »
On peut le penser avec ce qui suit.
DANS LE FIGARO
C’est à Cyrille Vanlerberghe, Rédacteur en chef Sciences et Médecine au Figaro que j’ai dû m’adresser suite à une publication agressive envers ma personne. Un collègue et une consoeur mettaient nommément en cause mon sérieux dans le « Figaro Santé ». Leurs allégations scientifiques partielles et partiales à propos de la pilule contraceptive m’obligeaient à répondre pour que les lecteurs ne soient pas trompés.
Voici la réponse que le Figaro Santé a refusé de publier. Je vous l’envoie à vous et aux 580 000 lecteurs de cette lettre, c’est plus efficace que des procédures judiciaires coûteuses et réductrices !
Oui la pilule est dangereuse.
Une agression logique qui mérite un droit de réponse courtois de cancérologue à gynécologues.
Mon collègue Israël Nisand et notre consœur Brigitte Letombe m’agressent dans leur article du Figaro du 14 mars p.11, où ils posent la bonne question « La pilule est-elle dangereuse ? ».
D’abord mal informé, Nisand oublie que je suis universitaire (Chirurgie cancérologique) et jeune retraité comme lui. Avec sa consœur ils n’ont certainement pas lu le livre (1) – ils ne répondent en rien sur le fond – que j’ai publié avec un journaliste scientifique, Dominique Vialard, préfacé par le prix Nobel Luc Montagnier et par Ellen Grant. Cette chercheuse qui participa aux premières études sur la pilule outre-Manche milita d’abord avec ferveur pour ce nouveau moyen de contraception. Mais au fil des recherches auxquelles elle participa, Ellen Grant se rendit vite compte qu’elle se trompait… Et que l’on trompait les femmes ! Elle fut ainsi la première, dans les années 80, à affirmer que la pilule était ”amère” (The Bitter Pill). Son livre, sans équivoque sur les effets délétères de la pilule hormonale, lui valut d’être bannie de la communauté scientifique. On la fit taire en Angleterre ! C’est le sort des lanceurs d’alerte… En France, un petit éditeur courageux, F.-X. de Guibert, la publia préfacée par mon collègue, éminent cancérologue, Lucien Israël.
Il est facile de critiquer des collègues dérangeants et de chercher à les discréditer sous couvert d’autorité scientifique… celle qui serait dans le vrai (évidemment), mais qui reste du siècle dernier. Facile de vanter la contraception chimique tant la chose est gratifiante, aussi bien vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique que des femmes que l’on maintient dans l’ignorance. En l’espèce, pas besoin de « lever son doigt mouillé » pour être dans le vent et se donner à tout prix le beau rôle. Quitte à douter de l’honnêteté intellectuelle et des compétences médicales des chercheurs à l’origine des centaines d’études qui démontrent que la pilule n’est pas un « bonbon » inoffensif comme beaucoup de femmes le croient encore face à l’Omerta qui prévaut, mais un vrai médicament, aux effets très indésirables. Quitte à ignorer les arguments scientifiques publiés depuis 50 ans. Quitte à ignorer tristement les plaintes de victimes qui se comptent maintenant par milliers de par le monde (les centaines de procédures engagées aux États-Unis ne sont que la partie émergée de l’iceberg) ! Des Françaises malades de la pilule, il en existe évidemment – certaines en sont mortes ou vont mourir encore -, mais l’on tait savamment ces accidents. Et pas question d’établir le moindre rapport avec l’usage de la pilule, quelle que soit la génération en cause… Le cas Marion Larat (et le courageux combat qu’elle mène depuis son accident) est l’exception confirmant la règle.
Comment peut-on faire croire qu’on peut écrire un livre avec un titre aussi clair « Pilule – Dangers et Alternatives » sans apporter des preuves scientifiques solides ? Évidemment aucun journaliste scientifique médical ou grand public n’en a parlé. Le sujet n’est pas tendance ! Les références scientifiques présentes tout au long du livre s’opposent frontalement à celles ajoutées à l’article du Figaro qui viennent tout droit des laboratoires pharmaceutiques, même si elles peuvent être publiées dans des journaux prestigieux qui ne sont pas insensibles aux publicités indirectes et dont les « défaillances » de certains comités de lecture sont notoires. Ces références scientifiques, je les décrivais déjà dans mon livre « Femmes, si vous saviez ! » (Ed. Rocher 3e éd 2007).
Des publications qui s’opposent
Je connais parfaitement les publications citées, toutes rabâchées et magnifiquement organisées par des équipes internationales liées indirectement aux laboratoires fabricants qui financent ces études, prospectives, méta-analyses… qui ne peuvent aller que dans le sens de l’innocuité et même de la prévention de toutes les maladies féminines.
Avec eux Nisand ne craint pas d’affirmer que la pilule protège de nombreux cancers. Il cite les atteintes des ovaires, le col et le corps de l’utérus et même le côlon. Curieusement mes confrères oublient les cancers du sein qui sont devenus grâce à la pilule un fléau social avec 11 500 femmes qui en décèdent chaque année de plus en plus jeune, et plus de 50 000 nouveaux cas par an.
Ce qui différencie Nisand et moi, c’est que lui est au début de la chaîne, et moi à la fin. C’est qu’il prescrit très largement la pilule, pousse à la consommation dans les lycées, affirme que les femmes sont protégées ainsi de tous les cancers. Il doit certainement dire aussi que la pilule évite les cancers du sein, les maladies cardio-vasculaires, dont les AVC (accidents vasculaires cérébraux) et les infarctus du cœur. Des conséquences dramatiques que l’on rencontre de plus en plus souvent chez des femmes de plus en plus jeunes et issues de familles non averties.
Si je suis un pseudo-expert en matière de gynécologie – je laisse à mon confrère son diagnostic – j’ai la preuve qu’il est un pseudo-expert en cancérologie, tandis que je connais parfaitement la gynécologie cancérologique.
J’ai trop vu et opéré de femmes de plus en plus jeunes, non porteuses des gènes du cancer du sein BRCA1 et 2, pour avoir vérifié ce que les laboratoires et publications médicales ne vous diront jamais : « la pilule est authentiquement cancérigène ». Cette affirmation que je vérifie tous les jours et qui se vérifie dans tous les Instituts du cancer et les centres de Sénologie, n’est pas de moi, mais du très sérieux et scientifique CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer).
Cela fait plus de 10 ans que les contraceptifs oestre-progestatifs sont OFFICIELLEMENT« cancérogènes » !
C’est tout de même curieux que personne n’en parle : il y a plus de 10 ans, le 1er août 2005, le CIRC a classé les contraceptifs oestraux progestatifs (et l’hormonothérapie ménopausique) « cancérogènes ». Mes détracteurs vont-ils jeter le discrédit sur le Centre International de Recherche sur le Cancer aussi ?
À l’époque les médias en ont parlé pendant 3 jours, les familles étaient en vacances… et à la rentrée de septembre, tous les journaux féminins présentaient – larges publicités à l’appui – les nouvelles pilules, celles-là sans danger, plus mini que mini… Les responsables du CIRC ont changé et ils peuvent être gênés par mes affirmations. En août 2005, en vacances, je recevais une lettre – que j’ai gardée précieusement – du directeur de mon institution le Pr Henri Pujol alors président de la Ligue nationale contre le cancer, avec lequel j’étais en désaccord sur ce sujet… avec un petit mot où était écrit : « Au Pr Henri Joyeux, tu avais raison bien avant, dont acte. » Il me l’a dit, mais s’est bien gardé d’en parler dans les médias, alors que le budget de la Ligue contre le cancer pour demander des dons est énorme.
Mes collègues des trois sociétés françaises de gynécologie dont Israël Nisand et Brigitte Latombe sont les porte-parole courageux ne peuvent pas s’opposer frontalement aux nombreux laboratoires qui financent largement leur congrès, les déplacements des ”experts” et leur recherche quand elle va dans le bon sens. Le numéro 1 mondial de la pilule, le groupe Bayer, consacre (efficacement) 3 à 4 fois plus d’argent au marketing qu’à la recherche. Ces « outsiders » ne font pas autrement…
Évidemment les attaques très classiques de mes collègues qui, je le répète, n’ont pas pris la peine de lire notre livre, parlent des grossesses non désirées que nous sommes « incapables de comprendre ». Désolés chers confrères je connais le sujet aussi bien que vous, mais je sais que l’on peut prendre la pilule sans danger après la naissance d’un premier enfant quand du lait est passé dans le sein, du moins pas plus de 5 ans. Le CIRC recommande ”le moins longtemps possible.”
Je sais aussi parfaitement que ce n’est pas l’intérêt des laboratoires pharmaceutiques qui veulent que toutes les jeunes filles du monde consomment la pilule dès 15 ans, qu’elles aient des boutons sur le nez ou pour raison contraceptive. Et qu’elles puissent la consommer sous toutes ses formes : anneau vaginal, implant, stérilet Miréna aux hormones, bientôt spray nasal..
Les laboratoires-rois en France, pays champion du monde de la pilule !
En 2011, le laboratoire Bayer affichait un budget de recherche et développement de 2,3 milliards de dollars et de 11,5 milliards pour la publicité. En 2016 il y a très peu de chances que cela ait changé. Nisand évidemment doit parler comme souvent nos jeunes internes de « risques » de grossesse et de « chances » de cancers. Évidemment il ressort la litanie classique des grossesses non désirées qui finissaient en drame. Dois-je lui opposer la litanie des trop nombreuses jeunes femmes qui meurent de cancers hormono-dépendants : seins, ovaires, utérus, col et corps ? Il s’en moque ? Non, c’est qu’il n’en voit pas puisque ce sont les cancérologues qui les traitent.
Cette propagande fonctionne parfaitement bien dans notre pays, champion du monde de la contraception chimique. Encore une exception française ! Avec une centaine de références de pilules dans les pharmacies de l’Hexagone et 60% de femmes utilisant pilule et stérilet, loin devant l’Allemagne (40%) et tous les grands pays (moins de 25% des Britanniques prennent la pilule, moins de 20% des Américaines prennent un contraceptif chimique) …
Cette propagande fonctionne tellement bien que si l’on en croit les résultats d’un tout récent sondage réalisé à l’initiative de l’Association française pour la contraception (publié ce mois-ci), plus de la moitié des gynécologues et des sages-femmes seraient favorables à la vente sans ordonnance de certaines pilules. Finies les responsabilités médicales. Femmes prenez vos risques et assumez !
La pilule bientôt en vente libre ? Quelle fête pour les labos !
Vers la pilule en continu
Ce que n’ont pas osé dire mes détracteurs, c’est que les laboratoires pharmaceutiques sont prêts à sortir de leurs cartons la pilule qui réduira les cycles féminins aux 4 saisons. Et même la pilule en continu, à prescrire dès la puberté pour la disparition définitive des règles (2), puisque les hommes ne les ont pas, et qu’elles sont responsables d’anémie, de fatigue, de problèmes d’hygiène… Je comprends que les auteurs de l’article agressif affirment ne pas savoir « les mécanismes des actions bénéfiques de la pilule » alors qu’elle existe depuis plus d’un demi-siècle.
Le seul bénéfice que je connaisse – et il n’est pas négligeable – est la contraception : avoir une grossesse quand on la désire. Évidemment le discours dominant fouille dans les tiroirs du siècle dernier, le Pape Pie XII, la méthode des températures, etc., et ignore superbement les nouvelles méthodes sans danger pour les femmes, qu’il s’agisse de solutions complètement naturelles, d’applications pour smartphones ou de mini-instruments de calcul fort intelligent. Méthodes parfois plus fiables que la pilule et ses hormones de synthèse comme les lectrices de notre livre peuvent le découvrir avec surprise…
À croire que les auteurs de cet article sont incapables d’imaginer que la femme du XXIe siècle veuille – parce qu’elle en a assez payé le prix – sortir du tout chimique et médicamenteux. Et pour cela il n’existe que des alternatives non pharmaceutiques : aucun laboratoire ne se risquera aujourd’hui à trouver une méthode plus écologique. Et puis où en est la responsabilité de l’homme en matière contraceptive ? Or de plus en plus de jeunes femmes apprennent à connaître leurs 4 à 7 jours de fécondité et à gérer écologiquement et en couple responsable leur fécondité.
Les dangers réels de la pilule
Ce qu’on ne veut pas que vous sachiez : c’est que les pilules selon leurs dosages vous donnent des cycles artificiels, que les doses d’hormones chimiques apportées pour mettre vos ovaires au repos, les atrophier ou les stimuler selon les cas sont 20 à 50 fois supérieur à celles que fabriquent vos ovaires (et la pilule du lendemain en apporte 40 fois plus encore !), qu’elles réduisent vos défenses immunitaires et sont directement responsables des nombreux cas de cancers hormonaux-dépendants des organes et tissus de votre corps. En plus, quand vous voulez avoir un enfant on est obligé de stimuler vos ovaires avec de fortes doses d’hormones ou de passer par des Fécondations in vitro. Sans parler de l’impact environnemental désastreux de la pilule dont les résidus hormonaux inondent (via les eaux usées) la planète et « féminisent », la science en a maintenant les preuves, poissons, animaux et sans doute humains (cf. la stérilité grandissante chez les jeunes hommes) … Sans parler (mais c’est sans doute sans intérêt) des conséquences possibles et désormais connues de la pilule prises par les mamans, plus tard sur les enfants à naître, tel l’autisme…
Peu de spécialistes vous le diront, sauf quand ils sont eux-mêmes touchés dans leur famille. Évidemment il y a d’autres causes pour développer des cancers : les mauvaises habitudes alimentaires (surpoids), le tabagisme (redoutable allié de la pilule aussi, comme l’alcool), les stress, de nombreux médicaments (souvent inutiles et dangereux) réducteurs d’immunité, les pollutions des perturbateurs endocriniens. La vérité est comme l’eau disait Teilhard, elle finit toujours par passer. En voilà un bel exemple.
Cette affaire est un bel exemple de la puissance manipulatrice des médias, très liés au pouvoir en place et aux lobbies qui les financent largement [2].
Je n’ai pas mentionné Le Monde, mais il faut savoir qu’il refuse systématiquement mes tribunes/opinions sur la santé, par idéologie et en symphonie avec les laboratoires pharmaceutiques.
On comprend mieux le difficile chemin que nous devons faire pour orienter le plus grand nombre vers la Santé.
À la semaine prochaine pour une annonce passionnante qui vous informera à propos de la régulation « veille-sommeil ».
Professeur Henri Joyeux
Parutions :
- La Pilule Contraceptive – Dangers et Alternatives – Ed. Rocher – 2013
- L’Enfer féminin – La Martinière – 2012
[1] Voici les médias qui m’ont invité et que je tiens à remercier pour leur intégrité :
- VIVEMENT DIMANCHE invité par Sophie MARCEAU chez Michel DRUCKER au sujet de Changez d’Alimentation.
- RMC et BFMTV avec Jean Jacques BOURDIN à propos de Changez d’Alimentation et Brigitte LAHAIE sur le sujet Amour et Sexualité racontés aux enfants.
- FRANCE 2 avec Elise LUCET à propos de Changez d’Alimentation.
- RTL et TV5 avec Philippe BOUVARD, Yves CALVI, Stéphane BERN au sujet de l’obésité et de l’arnaque des laboratoires à propos des vaccins : imposer un vaccin Hexavalent à tous les nourrissons dès deux mois, alors que seules 3 valences sont obligatoires et que l’allaitement maternel intégral 6 mois est le meilleur des vaccins quand la mère est en bonne santé.
- EUROPE 1 avec Jean Marc MORANDINI au sujet de l’arnaque des laboratoires à propos des vaccins et des 59 maladies infectieuses que tous les parents devraient connaître.
- C A VOUS avec Anne-Sophie LAPIX, au sujet de l’arnaque des laboratoires à propos des vaccins.
- C DANS l’AIR avec Yves CALVI à propos des campagnes insidieuses pour pousser les jeunes au tabagisme.
- FR3 Ile de France sur les Matins de Paris avec Paul WERMUS sur les sujets Thym, Chocolat, Vaccins.
- FR3 Languedoc-Roussillon, et FR3 Bourgogne au sujet de l’arnaque des laboratoires à propos des vaccins.
- FR3 Corse avec Angélina RISTERUCCI sur le thème « Comment enrayer l’Epidémie des cancers du sein et de la prostate et les récidives ? »
- LCI sur les vaccins.
- SUD RADIO sur les vaccins, sur la maladie d’ALZHEIMER, et sur les dangers la contraception en continu.
- FRANCE INFO pour des réactions très courtes sur tel ou tel sujet à propos du cancer.
- FRANCE INTER avec Marie-Pierre PLANCHON au sujet de l’Alimentation.
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Luc Montagnier a découvert en 1983 le virus du sida (VIH, Virus de l’Immunodéficience Humaine). Il a très vite compris qu’un vaccin contre ce retrovirus à ARN, serait très difficile à mettre au point du fait de ses mutations permanentes. Quarante plus tard le vaccin n’existe toujours pas.