La Saint Valentin – L’amour un rêve d’absolu

Chers Amis,

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Cette définition est inscrite au préambule de 1946 à la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette définition de l’OMS n’a pas été modifiée depuis 1946.

L’Etre humain ne se résume pas à son corps ou à son esprit, sa capacité de réflexion, ce qu’on appelle son intelligence. Nous avons besoin de reconnaissance, d’amour donné et reçu. Cette troisième partie de notre être n’est pas moins importante que les deux autres. Et l’âme me direz vous ? L’avez vous trouvé sous votre bistouri ? Evidemment non, car elle appartient au monde de l’invisible, un monde que l’on attend ou que l’on espère mais que nous pouvons déjà appréhender de diverses manières.

C’est le monde spirituel. Je vous ai déjà parlé des deux merveilleux livres de Laurence, « J’aimerais tant qu’on se revoie mon fils… » un dialogue incroyable et difficile que j’aie eu avec cette mère à la recherche de son fils parti vers l’au delà… Elle vient de publier une formidable suite « Le Bonheur, Promesse tenue mon fils » (Ed. Artège) qui démontre combien l’amour est plus fort que la mort.

Les inondations publicitaires de la Saint Valentin

Elles n’ont pas grand intérêt en dehors du business qu’elles cherchent à déclencher. L’amour c’est le fric, les bijoux, les voyages, les nuits torrides, les coups de foudre…

Pourtant l’amour le plus beau, le plus pur, le plus cher est celui qui ne coûte rien : plus précieux que les plus belles pierres précieuses. Il ne se périme pas, il s’entretient, il dure. C’est une construction. Elle demande du temps pour ne pas s’écrouler en un brin de temps.

Ce ne sont pas les promesses amoureuses qui comptent. Elles s’envolent comme les feuilles d’automne. Des joies éphémères qui n’ont pas le temps de s’enraciner.

Aujourd’hui, les souffrances d’amour sont légions.

On s’aime puis aussi vite on ne s’aime plus. L’amour ne rime plus avec toujours, mais avec le temps court. On aime sans réciprocité, impossible est l’amour.

Les enfants n’ont plus d’importance. Ils apprennent la garde alternée qui les désorientent plus qu’on le dit. Heureusement il y a la résilience qui aide à s’adapter. Mais les plaies demeurent à jamais : amour trahi, bafoué, étiolé..

J’ai rencontré des jeunes dans les lycées, les universités qui affirment « L’amour, je n’y crois plus ! »

L’amour : y croire encore et toujours

L’an dernier avec Arouna Lipschitz, productrice, philosophe, écrivain, nous avons soutenu les Pensées en Passerelle « Parlons d’amour et de sexualité ». Elles m’ont valu un abondant courrier.  Vous avez aimé.

Aujourd’hui on peut aller plus loin.

Arouna œuvre toujours pour de meilleures relations amoureuses.  Et pour amener plus d’amour dans notre monde qui a perdu la boussole, elle passe par le cinéma en réalisant son premier long métrage :

La Nostalgie de l’Ailleurs

Avec Christine mon épouse depuis 43 ans, je la soutiens et vous la recommande chaleureusement  dans sa formidable aventure cinématographique.

« Un film sans tournage entièrement réalisé à partir d’extraits de films mythiques ou moins connus, d’images archives et de post production numérique. »

 Une première dans le monde du 7e Art.

http://lanostalgiedelailleurs-lefilm.com

Une histoire d’amour sur fond historique des années 60-70, entre Orient et Occident, rêve et réalité.
La Nostalgie de l’Ailleurs retrace l’histoire d’Arielle, une grande amoureuse qui rêve d’absolu, de pureté et de beauté, en bref du grand amour. Est-ce possible sur terre sans l’aide du ciel ?

Un pari artistique, un défi juridique

Plus de 100 acteurs, chanteurs, icônes d’hier et d’aujourd’hui seront représentés. Plus de 120 œuvres cinématographiques assemblées, remontées et revisitées pour créer une nouvelle histoire. Le plaisir de retrouver sur le grand écran nos émotions du passé pour réinventer l’amour aujourd’hui.
Un hommage au génie des réalisateurs et au jeu magique des acteurs qui les rend plusieurs fois éternels.

Ce film étant entièrement composé d’images préexistantes, pour acquérir les droits de chacune d’elles il faut convaincre de la nécessité de bouleverser les pratiques actuelles, tout en restant dans une éthique respectueuse du droit d’auteur et du droit moral. Négocier des prix plus raisonnables pour que l’acquisition des droits ne soit plus un obstacle à la création : un défi pertinent et nécessaire à l’heure d’Internet.

Pour une charte du XXIè siècle sur la circulation des images : faisonscirculerlesarchives.org

Ils y croient

«Au vu de la maquette présentée, le film nous apparait prometteur et constitue pour nous un challenge à relever.» Serge de Poucques Nexus Factory (co-producteur belge de La famille Bélier, Les garçons et Guillaume à table etc. )

«Avec La Nostalgie de l’Ailleurs, nous avons une réelle opportunité de créer un précédent dans l’Histoire du cinéma.» Catherine Paoli

Le Chaînon Manquant – Paris.

«Le but premier de ce film est bien sûr de nous faire vivre des émotions, de nous raconter une histoire d’une manière jamais vue, mais aussi de devenir une référence en matière de droit d’auteur et d’utilisation des œuvres d’autrui.» Isabelle Errera Docs&Stock – Bruxelles.

Un projet à soutenir financièrement et à faire largement connaître

En voici la présentation détaillée par Arouna On est maintenant assuré de finir la maquette coût 26 000 €  

Pour avoir droit au grand écran, il faut 5 fois plus !

On a le cœur ému – mis en mouvement grâce à vous pour grimper vers les plus hauts sommets… Sky is not the limit !

Contribuez jusqu’au 14 mars à la campagne de financement pour réinventer l’amour ensemble

Contact & lanostalgiedelailleurs-lefilm.com