Categories: Citoyenneté, Lettres, Santé | Published On: 14 juin 2018 |

LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

– MONSIEUR EMMANUEL MACRON –

 

 

Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN 

Professeur Henri JOYEUX                               

 

 

 

Lettre Recommandée avec AR

Poitiers le 14 juin 2018

Objet : 

Retirer l’aluminium des produits de santé : une mesure de salut public pour écarter tout risque de scandale sanitaire

 

 

Monsieur le Président,

Les sels d’aluminium entrent dans la composition de certains médicaments à usages humain
et vétérinaire. Il est utilisé, notamment :

– dans les pansements gastriques, par voie orale, pour leurs propriétés anti-acides, chez
l’homme ;
– dans certains vaccins, en tant qu’adjuvants destinés à la stimulation du
système immunitaire, chez l’homme et certains animaux.

Tous les scientifiques spécialistes de l’aluminium, sans la moindre exception, qui ont étudié
son impact sur les organismes humains et animaux, sont unanimes pour conclure à sa
grande toxicité, et recommander sa suppression totale dans tous les médicaments à usages
humain et vétérinaire. L’aluminium est reconnu neurotoxique pour le système nerveux central
à moyen ou long terme et comme un perturbateur endocrinien majeur.

L’injection intramusculaire d’aluminium dans les vaccins contenant l’adjuvant aluminique a
provoqué :

– des morts subites de nourrissons bien que l’industrie et ses spécialistes ne les reconnaissent
pas ;

– des myofasciites à macrophages aux lieux d’injection et aux conséquences plus larges dans
l’organisme (découvertes du Professeur Romain GHERARDI) ;

– des maladies telles que sclérose en plaque, maladie de Parkinson, fibromyalgie, etc., qui
apparaissent souvent à moyen et long terme, du fait de la diffusion et de l’accumulation de cet
agent neurotoxique, dans le cerveau et la moelle épinière.

Dès 1989, la FDA et l’OMS ont promulgué une directive qui définit, pour l’administration
orale (cas des pansements gastriques), une Dose Minimale à Risque (Minimal Risk Level)
égale à 1 milligramme d’aluminium par kg de poids corporel et par jour. Les doses
d’aluminium administrées par voie orale doivent donc être inférieures à 1 mg d’aluminium
par kg de poids corporel et par jour, sous peine d’exposer les patients aux effets nocifs de
l’aluminium précédemment décrits.

Cette directive de la FDA et de l’OMS a été reconduite depuis 1989 jusqu’à ce jour. Elle
interdit donc l’administration orale de doses d’aluminium égales, et à fortiori supérieures, à 1
mg d’aluminium par kg de poids corporel et par jour, du fait de son passage dans le sang qui
est dangereux au-delà du 1% de la dose prise par voie digestive.

Pour des raisons inconnues, cette directive n’a jamais été mise en application en France. Au
point que les patients qui prennent des pansements gastriques, tels que MAALOX,
PHOSPHALUGEL, et autres, reçoivent des doses d’aluminium qui passent dans le sang,
équivalentes à 2,5 à 55 fois la Dose Minimale Toxique par jour.

Étendue aux vaccins, et à la voie intramusculaire, le non-respect de cette directive de la FDA
et de l’OMS, expose les enfants et les adultes aux mêmes dangers, ce qui n’est plus le cas des
animaux, puisque l’aluminium a déjà été retiré des vaccins vétérinaires par sécurité.

En vous remerciant de l’action que vous pourrez entreprendre afin que cesse, le plus tôt
possible, la diffusion de ces médicaments dangereux, et que soit mis en œuvre la procédure
nécessaire à l’abrogation de la loi du 30 décembre 2017.

Il ne s’agit pas d’être contre les vaccins, mais seulement contre la présence de l’adjuvant
aluminique dans ces produits de santé notoirement invasifs.

Aucun médecin ne peut désormais en conscience prescrire un vaccin, quel qu’il soit,
contenant l’adjuvant aluminique. La loi du 30 décembre 2017 doit être revue.

Nous avons commencé à informer largement le grand public malgré les fausses informations
(fake news) qui circulent dans les grands médias.

Nous vous présentons, Monsieur le Président, nos salutations les plus respectueuses.

 


 

 

UN APPEL URGENT

À MONSIEUR LE PRÉSIDENT

DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

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La présence d’aluminium dans l’organisme

représente un danger mortel pour l’homme

 

En raison de sa grande toxicité pour l’organisme, confirmée par la valeur de sa Dose Minimale à Risque définie par la FDA* et reprise par l’OMS**, l’aluminium doit être formellement interdit dans tous les médicaments et produits de santé.

  

Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN

Ingénieur chimiste, Professeur honoraire de Chimie thérapeutique et Pharmacocinétique, ancien Pharmacien des hôpitaux, ancien Expert Pharmacologue Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique auprès de l’AFSSAPS***

Professeur Henri JOYEUX

Ancien Chirurgien des hôpitaux, Professeur honoraire de Cancérologie et de Chirurgie digestive

 

La directive de la FDA, reprise par l’OMS,

implique le retrait immédiat de l’aluminium

dans tous les produits de santé à usage humain

(Pansements gastriques et vaccins contenant l’adjuvant aluminique)

* Food and Drug Administration : Autorité Suprême de Santé des Etats Unis d’Amérique

** Organisation Mondiale de la Santé

*** Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé. Cette agence créée par la loi du 1er juillet 1998 est un organisme qui s’est substitué en 1999 à l’agence du médicament et qui est placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé. Son rôle est l’évaluation et la vigilance pour tout ce qui concerne la veille sanitaire et le contrôle de la sécurité sanitaire des produits destinés à l’homme.



Résumé

Les doses d’aluminium présentes dans la composition des pansements gastriques commercialisés en France (Maalox, Phosphalugel, Moxydar, Rocgel, Xolaam) et les vaccins contenant l’adjuvant aluminique, sont toutes, sans exception, supérieures à la Dose minimale Toxique (Minimal Risk Level) édictée par la FDA et l’OMS en 1989, dès la première administration de ces pansements gastriques, et vaccins, à l’homme.

Ce commandement de la FDA et de l’OMS, qui doit conduire à une interdiction impérative d’administrer tous ces médicaments, vient se placer, fort heureusement pour la santé des hommes, au-dessus de la loi du 30 décembre 2017 sur les 11 vaccins obligatoires, que l’on doit considérer comme une loi mortifère.

En effet, cette loi Française a été promulguée en toute ignorance ou mauvaise interprétation comme on préfèrerait le croire, des recommandations de la FDA et de l’OMS. Elle oblige les parents et les médecins à administrer les 11 vaccins obligatoires aux enfants sous peine de sanctions graves (amendes, voire emprisonnement, radiation de l’ordre pour les médecins résistants, etc.).

Tous ces médicaments doivent être immédiatement interdits par le Président de la République Française

 



 

La directive de la FDA, et de l’OMS

Elle définit des valeurs toxicologiques de référence pour l’aluminium alimentaire, déterminées à partir de l’expérimentation animale et extrapolées à l’homme :

Le Taux Minimal de Risque ou MRL (Minimal Risk Level) est fixé à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, dans l’alimentation, c’est-à-dire pour l’administration orale, chez l’homme.

Il tient compte essentiellement du risque de neuro-toxicité. Ce risque est lié au passage d’une partie de l’aluminium métal dans la circulation sanguine et à sa distribution aux différents organes, en particulier le cerveau et le squelette.

Le seul travail expérimental, réalisé en 1996, à partir duquel a été fixée, par la FDA, la détermination de la Dose Minimale Toxique, est une étude de toxico-cinétique réalisée par P. JOUHANNEAU, un grand spécialiste de l’Aluminium   (Référence: Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995. Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997).

Ce résultat est confirmé par les 4 membres du groupe de travail, mis en place par l’Académie nationale de Médecine, dans l’article du Bulletin de l’Académie nationale de Médecine du 26 juin 2012 (Pierre BÉGUÉ, Marc GIRARD, Hervé BAZIN, Jean-François BACH – Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ? Bull. Acad. Natle Méd., 2012, 196, n° 6, 1177-1181, séance du 26 juin 2012).

Dans cet article, il est écrit, dans le Résumé, à la page 1177, ainsi que dans la Question 2, à la page 1179 :

 « Des recommandations (OMS, FDA) ont permis d’établir des valeurs toxicologiques de référence pour l’aluminium alimentaire, déterminées à partir de l’expérimentation animale et extrapolées à l’homme : le taux minimal de risque ou MRL (minimal risk level) est fixé à 1 mg/Kg/jour. Il tient compte essentiellement du risque de neuro-toxicité. Les vaccins du calendrier vaccinal contiennent une dose d’aluminium réglementaire inférieure à 0,85 mg/dose. La cinétique comparée entre aluminium ingéré et aluminium injecté est bien étudiée, et elle indique que par voie digestive l’aluminium de l’alimentation courante est très peu absorbé, tandis qu’administré par voie sanguine il se concentre principalement dans l’os, alors que sa présence dans le cerveau est en très faibles quantités. Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très inférieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation ».

Cette déclaration appelle les commentaires suivants :

D’un point de vue scientifique, il paraît absurde, à priori, pour juger de la toxicité d’un composé tel que l’aluminium dans les vaccins contenant l’adjuvant aluminique, de comparer la quantité d’aluminium de la dose vaccinale, qui pénètre totalement dans l’organisme, à la Dose Minimale (jugée) Toxique, soit 1 mg/kg de poids corporel/jour (recommandée par l’OMS, et la FDA), par voie orale.x@

Mais il s’agit d’une étude de toxico-cinétique qui relie la toxicité de l’aluminium, présent dans les aliments, à la quantité d’aluminium, biodisponible, qui pénètre dans l’organisme. Cette étude de toxico-cinétique émane d’un article publié par un spécialiste,  incontesté, de l’aluminium, le Professeur Christopher EXLEY (référence 1). Cette publication indique que, selon un consensus reconnu par tous les spécialistes, tels que JOUHANNEAU et al (référence 2), l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium, comprise entre 0,1 et 1%, est inférieure à 1% (voir en bas de la page 119).

La conclusion des auteurs de l’article : « Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très inférieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation », est surprenante, et fausse, car elle est exactement à l’opposé de ce qu’ils auraient dû conclure.

Ils auraient dû conclure ainsi :  « Un seul travail expérimental, utilisant les adjuvants marqués, démontre que la quantité d’aluminium importée par les vaccins injectés aux nourrissons, et prévus par le calendrier vaccinal, exposent à un risque très supérieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation ».

En effet, comme le confirment les Membres du groupe de travail de l’Académie nationale de Médecine, cette étude de toxico-cinétique est à la base de l’établissement de la dose minimale toxique (minimal risk level), fixée par la FDA et l’OMS.

Il est donc formellement interdit d’administrer à l’homme, par voie orale, une dose supérieure à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, ce qui correspond à une absorption (passage dans la circulation sanguine) dans l’organisme de 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, compte tenu des résultats de l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium radioactif (26Al) de l’étude de toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU (référence 2).

On en déduit qu’il doit être formellement interdit, selon les recommandations de la FDA et de l’OMS, d’injecter dans l’organisme, par quelle que voie que ce soit, en particulier par voie IM, sous forme de vaccins, des doses d’aluminium égales et, à fortiori, supérieures à 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour.

Références :

1– Christopher Exley, Ellen Burgess, J. Philip Day, Elizabeth H. Jeffery, Srikumaran Melethil, Robert A. Yokel. ALUMINIUM TOXICOKINETICS, in RESEARCH ISSUES IN ALUMINIUM TOXICITY, Edited by Robert A. Yokel and Mari S. Golub, Volume 48, number 6, August 30, 1996, p. 117-132.

2– Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995.Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997.

 

Mode de calcul de la quantité d’aluminium métal dans les sels d’aluminium des pansements gastriques et des adjuvants aluminiques des vaccins

Comme nous venons de le voir, la Dose Minimale Toxique d’aluminium métal pour les vaccins, soit 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, a pu être calculée à partir de la Dose Minimale Toxique d’aluminium métal, décrite dans la directive de la FDA et l’OMS, soit 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, pour l’aluminium alimentaire, qui est applicable aux sels d’aluminium des pansements gastriques administrés par voie orale.

Pour déterminer les niveaux de la toxicité qui résulte de la présence des sels d’aluminium dans les pansements gastriques, administrés par voie orale, et dans les vaccins contenant les adjuvants aluminiques, il faut calculer les concentrations en aluminium métal, ou plus exactement en ion Al3+ seule forme soluble d’aluminium qui peut circuler dans les milieux biologiques, des principaux pansements gastriques, commercialisés en France, ainsi que celles des vaccins contenant l’adjuvant aluminique.

Étant donné que les Doses Minimales Toxiques sont exprimées en aluminium métal (27Al), il est nécessaire de rappeler ses caractéristiques :

– Élément du groupe 13 et de la 3ème période du tableau périodique des éléments chimiques ;

– Numéro atomique : 13

– Masse atomique égale à 26,9815386 ± 8 x10-7u, ramenée à 27 unités de masse ;

– Un seul isotope de 27Al est stable, le radioisotope 26Al, qui existe dans la nature, et dont la demi-vie est égale à 7,17 x 105 années. Il a été utilisé dans la seule étude expérimentale de toxico-cinétique réalisée à ce jour par JOUHANNEAU et al (référence 2), relatée dans un article publié par un spécialiste incontesté de l’aluminium, le Professeur Christopher EXLEY (référence 1). Cette publication indique que, selon un consensus reconnu par tous les spécialistes, tels que JOUHANNEAU et al (référence 2), l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium est comprise entre 0,1 et 1 %, soit inférieure à 1%. 

Références :

1– Christopher Exley, Ellen Burgess, J. Philip Day, Elizabeth H. Jeffery, Srikumaran Melethil, Robert A. Yokel. ALUMINIUM TOXICOKINETICS, in RESEARCH ISSUES IN ALUMINIUM TOXICITY, Edited by Robert A. Yokel and Mari S. Golub, Volume 48, number 6, August 30, 1996, p. 117-132.

2– Jouhanneau, P., Raisbeck, G.M., Yiou, F., Lacour, B., Banide, H., and Drüeke, T.B. 1995. Gastrointestinal absorption, tissue retention and urinary excretion of dietary levels of aluminium in rats as determined by 26Al. Clin. Chem., 1997.

 

Dans l’organisme humain, l’aluminium ne peut circuler que sous forme d’ion Al3+, qui est soluble dans les milieux biologiques, contrairement à l’aluminium sous forme métallique (constituant de nos ustensiles de cuisine, etc.), Al (appelé aluminium métal dans la directive de la FDA), qui est totalement insoluble dans les milieux biologiques.

Mais, quantitativement, la masse de Al3+ est identique à celle de Al, soit 27.

Donc pour calculer les quantités d’Aluminium métal, c’est-à-dire de l’ion Al3+, contenues dans les sels d’aluminium tels que l’hydroxyde d’aluminium Al (OH)3 ou le phosphate d’aluminium Al PO4, il faut procéder de la façon suivante :

Sachant que la masse atomique de l’aluminium Al, ou de l’ion Al3+, est égale à 27, et que la masse du sel Al(OH)3 est égale à 78 [27 pour l’Al + 17 x 3 pour (OH)3], et que la masse du sel Al PO4 est égale à 122 [27 pour l’Al + 31 pour P + 64 pour O4], il faut multiplier les quantités de sels d’aluminium correspondant à l’adjuvant aluminique par le rapport 27/78, pour l’hydroxyde d’aluminium, et le rapport 27/122, pour le phosphate d’aluminium.

Ces précisions méritent d’être rappelées :

– à titre d’information, dans le tableau des vaccins contenant le DTP qui figure sur le site de la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations ;

et à l’attention des Membres du groupe de l’Académie Nationale de Médecine, qui ont rédigé l’article paru dans le bulletin de l’Académie nationale de Médecine, car ils n’en ont pas tenu compte (Pierre BÉGUÉ, Marc GIRARD, Hervé BAZIN, Jean-François BACH – Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ? Bull. Acad. Natle Méd., 2012, 196, n° 6, 1177-1181, séance du 26 juin 2012).

 

Les pansements gastriques contenant de l’aluminium

En France 5 médicaments, pansements gastriques anti-acides, contenant de l’aluminium, sont commercialisés : MAALOX, le PHOSPHALUGEL, le MOXYDAR, le ROCGEL, le XOLAAM.

 

1- MAALOX  (Sanofi)

COMPOSITION

Posologie : 1 à 2 comprimés, ou 1 cuillère à soupe, ou 1 à 2 sachets par prise au moment des brûlures oeso-gastriques. Ne pas dépasser 12 comprimés par jour, ou 6 cuillères à soupe par jour ou 12 sachets par jour.

Compte tenu du rappel précédent on en déduit que :

– Chaque comprimé de MAALOX contient 400 mg x 27/78 = 138,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 138,5 mg/60 kg = 2,31 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 12 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,3 x 12 = 27,6 fois la dose minimale toxique par jour.

– Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de MAALOX contient :525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,73 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour.

– Chaque sachet de MAALOX contient 460 mg x 27/78 = 159,2 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 159,2 mg/60 kg = 2,65 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,65 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,65 x 6 = 16 fois la dose minimale toxique par jour.

 

2- PHOSPHALUGEL  (Astellas Pharma)

COMPOSITION

Chaque sachet ou cuillère à soupe de PHOSPHALUGELcontient 2,476 g, soit 2476 mg de phosphate d’aluminium, soit 2476 mg x 27/122 = 548 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 548 mg/60 kg = 9,13 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 9,13 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, ou de 6 cuillères à soupe, un homme de 60 kg absorbera 9,13 x 6 = 55 fois la dose minimale toxique par jour.

 

3- MOXYDAR  (Grimberg)

COMPOSITION

Compte tenu du rappel précédent on en déduit que chaque comprimé de MOXYDAR contient 500 mg x 27/78 = 173,1 mg d’aluminium métal + 300 mg x 27/122 = 66,4 mg d’aluminium métal, soit au total : 239,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 239,5 mg/60 kg = 4 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 4 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 4 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 4 x 4 = 16 fois la dose minimale toxique par jour.

 

4- ROCGEL  (D & A Pharma)

COMPOSITION 

Compte tenu du rappel précédent on en déduit que chaque sachet de ROCGEL contient 1212 mg x 27/78 = 419,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 419,5 mg/60 kg = 7 mg d’aluminium métal par kg de poids corporel, ce qui correspond à 7 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 6 sachets par jour, un homme de 60 kg absorbera 7 x 6 = 42 fois la dose minimale toxique par jour.

 

5- XOLAAM  (Ranbaxys Pharmacie Générique)

COMPOSITION

Posologie : 1 à 2 comprimés, ou 1 cuillère à soupe, au moment des douleurs. Ne pas dépasser 12 comprimés par jour, ou 6 cuillères à soupe par jour.

Compte tenu du rappel précédent on en déduit que :

– chaque comprimé de XOLAAM contient 400 mg x 27/78 = 138,5 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 138,5 mg/60 kg = 2,31 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 2,3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 12 comprimés par jour, un homme de 60 kg absorbera 2,3 x 12 = 27,6 fois la dose minimale toxique par jour.

– Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de XOLAAM contient 525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,7 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS.

Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour.

Les vaccins contenant de l’aluminium destinés aux nouveaux-nés

Pour un nourrisson qui pèse 5 kg, à l’âge de 2 mois, lors de sa première vaccination, la dose d’aluminium métal injectée dans son organisme à ne pas dépasser (selon les recommandations de l’OMS et de la FDA) s’élève à : 0,01 mg x 5 kg , soit 0,05 mg d’aluminium.

Or, dès l’âge de 8 semaines, la 1ère dose de l’un des 3 vaccins hexavalents apporte à l’organisme du nourrisson des quantités 4 à 5 fois supérieures à la dose minimale toxique édictée par la FDA et l’OMS. Ce qui est formellement interdit par ces autorités de santé.

 

En effet :

1) INFANRIX HEXA

Ce vaccin contient :

 0,50 mg d’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse de l’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, égale à 78, à : 0,50 mg x 27/78 = 0,17 mg d’Aluminium métal

– et 0,32 mg de phosphate d’Aluminium Al PO4, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse du phosphate d’Aluminium Al PO4, égale à 122, à : 0,32 mg x 27/122 = 0,07 mg d’Aluminium métal

Ainsi la 1ère dose d’INFANRIX HEXA injecte dans l’organisme 0,17 mg + 0,07 mg, soit 0,24 mg d’Aluminium métal ce qui est 5 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg.

2) HEXYON et VAXELIS

Ces vaccins contiennent 0,60 mg d’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, ce qui correspond, compte tenu de la masse atomique de l’Aluminium, égale à 27, et de la masse de l’hydroxyde d’Aluminium Al (OH)3, égale à 78, à : 0,60 mg x 27/78 = 0,21 mg d’Aluminium métal.

Ainsi la 1ère dose d’HEXYON ou VAXELIS injecte dans l’organisme 0,21 mg d’Aluminium métal, ce qui est plus de 4 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg.

Et ce n’est qu’un début, puisque, pendant sa 1ère année, il recevra dans son organisme d’autres vaccins contenant des adjuvants aluminiques, sous forme de phosphate d’aluminium et d’hydroxyde d’aluminium, comme nous allons le voir.

 

Composition des autres vaccins obligatoires, destinés aux nourrissons, et qui contiennent les adjuvants aluminiques

PREVENAR 13 (Pfizer)

Le vaccin contre les Pneumocoques (13 sérotypes), nommé PREVENAR 13, du Laboratoire Pfizer, contient 0,125 mg de phosphate d’aluminum pour chacune des 3 doses injectées au nourrisson dès l’âge de 2 mois, puis à 4 mois et 11 mois. Pour chaque dose le nourrisson reçoit 0,125 mg x 27/122 = 0,03 mg d’aluminium métal, valeur proche de la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg, qui viennent s’ajouter aux quantités apportées à l’organisme par les autres vaccins contenant les adjuvants aluminiques.

 

NEISVAC (Pfizer) ou MENJUGATE (GSK) ou MENINGITEC (Nuron Biotech)

Le vaccin contre le Méningocoque C (Neisseria meningitidis du sérogroupe C).

Ces vaccins contiennent 0,30 à 0,40 mg d’hydroxyde d’aluminium. Pour chaque dose le nourrisson reçoit dans son organisme 0,104 mg (0,30 mg x 27/78) à 0,138 mg (0,40 mg x 27/78) d’aluminium métal, ce qui est 2,6 à 3,5 fois supérieur à la dose minimale toxique pour un nourrisson de 5 kg, qui viennent s’ajouter aux quantités apportées à l’organisme par les autres vaccins contenant les adjuvants aluminiques.

Officiellement ce vaccin sera imposé aux nourrissons âgés de 2 à 11 mois, à raison de 2 doses à 2 mois d’intervalle et un rappel au cours de la deuxième année de vie, en respectant un intervalle d’au moins 6 mois après la 2ème dose.

Au total, en application de la loi d’obligation vaccinale, un nouveau-né, dès l’âge de 2 mois, et pendant sa première année, aura reçu, au minimum, 0,908 mg à 1,326 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme, dont une partie importante restera dans son organisme pendant des années.

 Ce décompte est présenté ci-après :

– 3 ou 4 fois 0,21 à 0,24 mg = 0,63 à 0,96 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins hexavalents (INFANRIX HEXA, HEXYON, VAXELIS) ;

– 3 fois 0,03 mg = 0,09 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins contre les Pneumocoques (PREVENAR 13) ;

– 2 fois 0, 104 à 0,138 mg = 0,208 à 0,276 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins contre les Méningocoques (NEISVAC, ou MENJUGATE, ou MENINGITEC).

 

Les vaccins contre l’hépatite B destinés aux enfants et aux adultes

ENGERIX B 20 mcg (GSK)

Ce vaccin contient 0,50 mg d’hydroxyde d’aluminium hydraté, soit 0,50 mg x 27/78 = 0,173 mg d’aluminium métal.

Il existe plusieurs schémas d’administration en 2 (enfants âgés de 11 à 15 ans seulement), 3 ou 4 injections entre la 1ère injection à une date donnée et 6 à 12 mois, ce qui correspond à une dose totale d’aluminium injectée comprise entre 0,346 mg et 0,692 mg d’aluminium métal.

Au total la dose injectée dans l’organisme sur une période de 6 à 12 mois , voisine de la dose minimale à risque, soit 0,01 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/jour, si l’on tient compte du fait qu’une fraction importante, neurotoxique, de la dose totale d’aluminium métal injectée, reste dans l’organisme pendant de nombreuses années.

TWINRIX ENFANT (GSK)

Vaccin de l’hépatite A inactivé et de l’hépatite B (ADNr) HAB, adsorbé.

Il contient 0,055 mg d’aluminium métal :

– 0,025 mg d’hydroxyde d’aluminium, soit 0,025 x 27/78 = 0,011 mg d’aluminium métal ;

– 0,044 mg de phosphate d’aluminium, soit 0,20 x 27/122 = 0,044 mg d’aluminium métal.

TWINRIX ENFANT est indiqué chez les nourrissons, les enfants et les adolescents âgés de 1 à 15 ans révolus, non immunisés contre les virus de l’hépatite A et de l’hépatite B, et identifiés comme à risque d’infection par ces virus.

Habituellement, la primovaccination avec TWINRIX ENFANT comprend 3 doses, la première administrée au jour J0, la seconde 1 mois plus tard, et la troisième 6 mois après la première injection.

Au total l’enfant vacciné aura reçu 0,110 mg d’aluminium métal au bout d’un mois, et 0,165 mg sur une période de 6 mois après l’injection de la première dose.

 

CONCLUSION

L’excellente étude de toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU a permis la détermination, par la FDA, de la Dose Minimale Toxique (Minimal Risk Level), fixée à 1 mg d’aluminium métal/kg de poids corporel/par jour dans l’alimentation orale, chez l’homme ; dose à ne pas dépasser, sous peine de mettre en danger la santé de l’homme.

Pour des raisons incompréhensibles la directive de la FDA, reprise par l’OMS, n’a jamais été mise en application, pour les pansements gastriques antiacides, qui contiennent des sels d’aluminium.

Or, c’est précisément cette même étude toxico-cinétique de P. JOUHANNEAU qui a permis de mesurer l’absorption gastro-intestinale de l’aluminium métal, à partir des sels d’aluminium, présents dans l’alimentation ou les pansements gastriques anti-acides. Ces travaux ont permis de calculer la biodisponibilité de l’aluminium métal, administré par voie digestive. Elle est comprise entre 0,1 et 1%, , ce qui nous indique qu’il ne faut pas injecter dans l’organisme, par quelle que voie que ce soit, et notamment par voie IM, sous forme de vaccins contenant l’adjuvant aluminique, des doses égales, et, à fortiori, supérieures à 0,01 mg d’aluminium exprimé en quantité de métal (27Al)/kg de poids corporel/jour.

Une seule administration de tous les médicaments à usage humain, pansements gastriques antiacides qui contiennent des sels d’aluminium, par voie orale, et vaccins contenant des adjuvants aluminiques, par voie intramusculaire, expose l’homme aux dangers consécutifs au large dépassement de la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA, et reprise par l’OMS, afin de protéger les êtres humains.

 On notera que, pour les mêmes raisons scientifiques, les adjuvants aluminiques sont interdits, en France, depuis décembre 2015, dans les vaccins à usage vétérinaire.

Pourquoi nos amies les bêtes seraient-elles mieux protégées que nous ?

Dans ces conditions, nous demandons instamment à Monsieur le Président de la République Française, garant de la protection des Français, non seulement d’abroger la loi d’obligation vaccinale du 30 Décembre 2017, encore une « exception française », qui est mortifère, mais aussi d’interdire le plus tôt possible, sans prendre en considération le problème économique que cela va poser aux Laboratoires pharmaceutiques, la fabrication, la détention, la distribution, la prescription, et la vente de tous les médicaments qui contiennent des sels d’aluminium (pansements gastriques antiacides et vaccins avec adjuvants aluminiques).

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