Categories: Lettres, Santé | Published On: 15 décembre 2020 |

Les 8 questions que tout prescripteur doit se poser et que tout patient peut poser avant vaccination.

1. Justification vaccinale : personnelle, groupale ou de masse ?

2. Composition du vaccin ou des vaccins administrés simultanément.
–       quel type(s) d’antigène(s) ?
–       quel(s) adjuvant (s) ?
–       quels excipients ?
–       quelles nanoparticules ?
–       quelles cellules embryonnaires ?
Pour être plus facilement acceptées, seront vérifiés l’absence d’aluminium (hydroxyde ou phosphate), de cellules embryonnaires humaines [1] ou animales (issus d’élevage de poulets dans de bonnes conditions), de nanoparticules, de formaldéhyde, d’OGM et même d’antibiotique tel que néomycine et autres antibiotiques auxquels vous pouvez être allergique.

3. Mode(s) d’action (s) simplement expliqué ?

4. Nécessité ou non de rappels et leurs dates ?

5. Temps nécessaire pour obtenir la protection espérée.

6. Effets indésirables du plus simple au plus lourd, à court, moyen ou long terme (au moins 1 année).

7. Durée de la protection vaccinale ?

8. Le meilleur moment pour se faire vacciner.

Tout cela devrait être inscrit sur l’enveloppe vaccinale, parfaitement lisible par tous, fournie par le fabricant ce qui facilitera le choix.
Evidemment, en outre le prescripteur aura pris soin de se renseigner précisément sur les 8 éventuelles questions de son patient.

[1] ce sont des cellules embryonnaires issues d’embryons ou fœtus avortés ce qui pose des questions éthiques. On les trouve dans de certains vaccines. 

Partager cette lettre

Lettres liées

COMMENT PREVENIR ET TRAITER LA COVID-19
ETE 2020 : La distanciation, les masques, et plus ?

S’abonner aux lettres gratuitement

Luc Montagnier a découvert en 1983 le virus du sida (VIH, Virus de l’Immunodéficience Humaine). Il a très vite compris qu’un vaccin contre ce retrovirus à ARN, serait très difficile à mettre au point du fait de ses mutations permanentes. Quarante plus tard le vaccin n’existe toujours pas.