Categories: Lettres | Published On: 11 novembre 2021 |

LE PORNO – source et chemin des dérives sexuelles criminelles partout dans le monde

Une prise de conscience auprès des jeunes et de leurs parents – 1982-2021

Mes très nombreuses rencontres dans les milieux scolaires et universitaires public comme privé, en France (avec l’agrément ministériel 2005-2015), en Europe, (Belgique, Pologne, Suisse, Italie) et au Maroc comme au Canada, avec des jeunes de toutes les tranches d’âge et leurs parents, à partir de l’année 1982 (date de l’irruption du sida sur la planète) m’ont beaucoup appris. Le Sida avec la mort certaine était alors plus dangereux que le cancer.

Jack Ralite, ministre de la Santé de François Mitterand avait conçu la grande concertation sur le cancer qui dut s’élargir au sida. Il s’agissait pour moi en tant que jeune professeur de cancérologie, tous les jeudis, d’informer puis d’écouter les questions des jeunes, groupés selon les tranches d’âges, des écoliers aux lycéens et universités, et de répondre à leurs questions reçues, dès le CM2, sur des papiers anonymes. Le thème des rencontres se déclinait en 3 lettres : S.A.S. ou Santé, Amour Sexualité, le dernier mot à peine prononcé déclenchait les cris de joie à tous les âges.

En soirée je rencontrais leurs parents dans des salles combles et leur soumettais les questions très pertinentes de leurs jeunes. Les questions des parents étaient surtout liées à la peur du sida et à la manière de les informer (que dire, quand dire ?) en particulier au sujet des différentes orientations sexuelles déjà prônées par des associations ouvertement prosélytes depuis les années 70 et plus largement par les médias.

J’ai du accompagner vers la fin de vie une centaine de jeunes et moins jeunes atteints par le Virus de l’Immuno-déficience Humaine (VIH)… Tous n’avaient reçu aucune information en temps voulu sur ces sujets aussi essentiels. Ils ont payé de leur vie une immense ignorance liée aux carences éducatives parentales et sociétales.
En quarante années, fort heureusement, la recherche a permis de trouver les médicaments qui traitent. Il y a aussi ceux qui pourraient prévenir, pris la veille ou le lendemain de relations à risques, tel le PrEP (Prophylaxie pré-exposition, traitement complexe et au long cours). Ainsi, une personne atteinte par le virus du Sida, correctement et longuement traitée gratuitement, peut vivre aussi longtemps qu’une personne du même âge non atteinte. Malgré quarante années de recherche, nous n’avons pas encore de vaccin efficace. Il ne saurait tarder pensent les spécialistes.

Dans le domaine de l’information pour la prévention, quelle pauvreté ! J’ai pu observer la distribution de préservatifs dans les lycées. Dans les collèges, dès la 5ème c’était la démonstration de leur mise en place sur des pénis en bois de toutes les couleurs et hauteur, tournant sur un manège. Pendant ce temps se développait un océan pornographique toujours plus grand, plus riche et plus puissant, à la portée de tous les jeunes et qui ne fera que s’accentuer avec les téléphones portables.

L’exploitation du non-savoir, pousse au voir : une industrie hyper-rentable.

Faute de grives (une information respectueuse du jeune, juste et adaptée à l’âge et aux questionnements), on mange des merles (une information faussée, souvent destinée à stimuler une sexualité précoce et troublante appartenant à une idéologie sous jacente et rampante). Certains responsables éducatifs et sexologues en herbe parlaient ”d’éducation sexuelle”, ”d’esthétique” et même « d’éthique érotique » qui devenaient aussi importante que les mathématiques ou l’histoire. L’éducation nationale a bien essayé de combler les manques sans grand succès. En août 1982, la loi la plus courte de deux septennats, fixait un nouvel âge, 15 ans, celui de la majorité sexuelle, pour toutes les relations hétéro comme homosexuelles consenties.

Aujourd’hui ”l’art pornographique”, évidemment ouvert à tous, deviendrait le sommet de l’éducation à l’amour et au plaisir.

Quand on a des difficultés à expliquer, à dialoguer avec délicatesse sur des sujets aussi intimes, on montre, on expose, on n’hésite pas à choquer les âmes sensibles. En filmant, dessinant en BD les zones les plus intimes du corps en mouvement, s’impose un imaginaire qui normalement et logiquement se construit pas à pas chez un jeune au fur et à mesure des explications qu’il reçoit. Reconnaissons que nos parents ne nous ont pas dit grand chose sur ces sujets intimes. Eux mêmes n’avaient pas reçu grand chose en terme d’information. Ainsi ont été déstabilisés un grand nombre d’adultes et de couples dans leur propre sexualité.
Ainsi celui qui ne sait pas, cherche à savoir et trouve facilement à voir. Les exploiteurs sont là en embuscade et savent parfaitement attraper les ignorants, des milliards vite gagnés réinvestis dans les médias.
D’innombrables exemples existent dans la littérature. Aujourd’hui c’est l’inceste puis le viol qui est décrit avec force détails (dernier prix Medicis) avant d’être filmé. On peut espérer dans un but préventif.

Cet imaginaire imposé aux enfants souvent dès 10-12 ans se dit plus réaliste. Il peut faire peur, pousser au dégoût ou à l’imitation, à la performance, à la recherche de plaisirs qui ne seront jamais réellement satisfaits. J’ai rencontré des jeunes garçons et filles culpabilisé(e)s jusqu’à se sentir ridicules quand ils n’étaient pas encore passés à l’acte entre 14 et 17 ans. Ils entendaient très souvent de leurs camarades (plus garçons que filles… c’est en train de changer) des propos orgueilleux et enthousiastes, pour se valoriser « je suis devenu homme et elle est devenue femme ». Et ainsi pousser les autres à faire de même. Quand les déceptions dominaient, le bouc émissaire était évidemment féminin. Ces réactions s’orientent désormais souvent contre les garçons. Car les jeunes en sont à comparer, évaluer, noter même les performances réussies ou ratées. Exultent les experts : la virginité féminine comme masculine est morte, les expériences décevantes s’accumulent et beaucoup de garçons hypersensibles ne savent plus ce qu’ils sont. Quant aux filles, elles veulent devenir garçon. La dysphorie du genre est entrée dans les consultations médicales des endocrinologues et des chirurgiens. La théorie du genre devient réalité, le ministre l’éducation nationale en devient le promoteur inconscient.

Comment évaluer les résultats de cette éducation ouvertement prosélyte ?

Beaucoup vous diront que les jeunes sont moins niais, qu’ils sont bien informés et que leurs relations sexuelles de plus en plus précoces ne se passent pas si mal, en comparaison avec celles des adultes, de leurs parents qui n’auraient pas résolu leurs problèmes en ce vaste domaine de la génitalité-sexualité. Est-ce la vérité ? On apprend aux jeunes filles les préliminaires qui peuvent faire plaisir aux garçons comme aux filles, car il faut en essayer plusieurs, filles ou ”mecs”. Rien ne vaut l’expérience leur affirme-t-on. On banalise les partenaires en valorisant, banalisant toutes les orientations sexuelles possibles. L’interdit est évidemment interdit. Si le désir est là, allez au bout de vos envies. Jusqu’aux pratiques violentes, toxiques du « bdsm  » qui signifie bondage*,domination, sadisme et masochisme…et si le désir n’est pas là et que vous n’êtes pas passés à l’acte, quelque chose n’est pas normal chez vous et on vous pousse à aller vers ces désirs et ces actes que vous ignorez. On ne parle pas des dégâts psychologiques qui s’ensuivent.

La place du porno dans l’éducation sexuelle ? Vers la pédocriminalité.

Sur l’océan pornographique, des millions de visiteurs circulent jour et nuit. Ils sont stimulés par l’image et le son simulé ; poussés aux actes seuls ou avec d’autres. L’industrie est en bourse ou dans des paradis fiscaux. Des clips, des films, des sites, des expert(es) plus ou moins reconnus, médiatiques et de tous les âges. Les réseaux sociaux explosent, avec des titres nécessairement suggestifs. C’est la modernité ou post-modernité X au sens large. On trouve tout sur le net pour tous les âges, pour toutes les orientations sexuelles : l’hétéro, l’homo, la bi, la trans..la pan-sexualité. L’objectif est de faire des adeptes, des pratiquants, y compris des religieux, les plus belles prises. Le rapport de la Ciase l’a montré en 2021. Remarquons que ce rapport n’a pas abordé les causes de la pédophilie et des autres dérives, qui permettraient de mettre en place une politique internationale de prévention.

Le porno, pour celui qui commence, c’est gratuit. Belle générosité pour rendre le (la) voyeur(se) addict ! Très vite, il, elle ne peut plus s’en passer. Il, elle paye, le tour est joué, le, la voilà ficelé(e).

L’image fascine. L’interdit stimule. Devenir professionnel(le) du porno se paye certainement bien et rapporte, même à un âge avancé. Peu importent les chiffres. Les pornographes exploitent les pornophiles. Ils sont légions. Ils abondent dès les collèges (et même avant : maintenant dès le primaire dans certaines écoles américaines) et jusqu’au plus grand âge. Comment se forger un esprit critique face aux contenus pornographiques ? Ce qui est important, dit une gynécologue obstétricienne, « c’est de comprendre que ce qui est montré ne représente pas la réalité ». Mais quels jeunes peuvent le comprendre et qui le leur dit ? (Le Monde 1 septembre 2021 – Sur Instagram, une nouvelle éducation sexuelle – Le réseau social est devenu un espace de pédagogie pour des milliers d’adolescents et de jeunes adultes.)

Tous les pays du monde sont concernés, plus les hommes que les femmes, même si l’égalité s’impose pas à pas. Les femmes nous rattrapent, les sociologues l’affirment.

Culpabiliser ne sert à rien. Mieux vaut essayer de comprendre. Pourquoi tant d’abus sexuels ? Evidemment le porno n’est pas seul en cause. Les abus sortent au grand jour. Les grands et petits pédophiles font la ”Une” des médias, avec les crimes sexuels, y compris en famille. Toutes les professions sortent au grand jour leurs statistiques. L’église catholique est en première position. Le bilan est affligeant en France avec entre 1950 et 2020 près de 3% de prêtres et religieux pédocriminels, gravement ”malades” en matière sexuelle. On pleure amèrement à juste raison les victimes à vie, on réclame la générosité publique pour les indemniser. Mais que propose-t-on aux ”criminels” qui enfants, ados et même plus tard ont très souvent été blessés eux mêmes par des images et plus encore physiquement. Ils reproduisent ce qu’ils ont subi. Ils n’ont jamais été informés correctement sur leur propre sexualité-génitalité.

La société a sa part (plus grande qu’il n’y parait) de responsabilités par l’information-éducation qu’elle promeut ou laisse faire, au nom de la liberté des moeurs si longtemps entravée. On est passé d’un extrême à l’autre. Ni l’un ni l’autre ne conviennent au petit homme en construction.

Les cabinets de psychologues, sexologues et gourous du domaine ne désemplissent pas, démontrant en creux que la sexualité, et plus largement l’affectivité humaine, ne vont pas si bien. Chez les jeunes, angoisse, performance à tout prix, échec de la première fois font la une des innombrables réseaux sociaux du sexe. En plus des BD attractives, la série Sex Education sur Netflix fait un tabac. Elle ferait l’éducation sexuelle des jeunes téléspectateurs, prend des allures de film X, en se vantant de « parler de cul sans tabous et d’aborder les bases d’une sexualité plus épanouie ». Les grands thèmes abordés : masturbations, avortement, tromperie, homosexualité, films pornographiques… Et où est l’Amour dans tout cela ? Le grand absent.

Comment va-t-on au porno autour de la puberté, âge le plus important de la vie ?

Très simple, trop simple. Il suffit de ne pas avoir la moindre information au sujet de la sexualité à l’âge le plus important de la vie. Quel est-il pensez vous ? Ma réponse étonne : la puberté ! C’est l’heure des hormones, disent les médecins ou les parents, sans expliquer quoi que ce soit.
Dès cet âge, le non-savoir pousse au voir, nouvelle forme du voyeurisme, surtout quand les copains, les copines, en parlent sans arrêt. Les publicistes le savent bien. Leur technique marketing imagée, photographiée, affichée est explicite ou suggestive par messages subliminaux. Elle se sert au maximum de l’érotisme, de la libido… Pour vendre, on peut tout se permettre. En clair, il faut profiter de l’appétit sexuel et sexué de tout un chacun. Il fait partie de l’humain. L’ignorance est donc largement exploitée.
L’âge de la puberté est évidemment variable selon que l’on est fille ou garçon. En effet la puberté d’une petite fille est possible même si elle est rare dès l’âge de 9 ans. Les enfants en parlent entre eux. Il faut donc commencer à informer progressivement un an plus tôt.
Pour le garçon, la puberté met plus de temps à se construire, souvent pas avant 13-14 ans. Que disent les pères à leur(s) fils sur le sujet de la sexualité ? Silence radio, répondent les jeunes. On doit parler aujourd’hui de puberté psychique, liée à l’image. Elle est préalable de plus en plus souvent à la puberté physique, anatomique et fonctionnelle.

Un jeune de 12 ans, très inquiet et en pleurs était venu me dire : «  je ne pourrai pas avoir d’enfant ». « Pourquoi me dis-tu cela ? » demandais-je. « Parce que mon sperme est comme de l’eau, et pas comme du lait ». « Comment sais-tu cela ? » « Un copain de 15 ans m’a montré et je lui ai montré… Il m’a dit, tu n’auras jamais d’enfant… »

La non-information, l’inquiétude, comme la mauvaise information conduisent presque automatiquement au porno, si facile à trouver pour visionner et visionner encore. La soif d’apprendre n’est pas un défaut, bien au contraire, mais les messages que l’on passe aux jeunes en matière de sexualité sont-ils destinés à les faire grandir ou à les rendre dépendants de leurs pulsions et compulsions, au total à les exploiter ?

Sortir du porno, n’est pas une mince affaire.

Plus la personne est dedans depuis longtemps, plus difficile sera la sortie… définitive. Là, comme avec toutes les addictions, les rechutes sont fréquentes, y compris chez des adultes qui peuvent donner l’impression que tout va bien. Ils vous diront qu’ils se détendent, qu’ils ne peuvent faire autrement… qu’ils ne blessent personne. Vont-ils si bien que cela, quand le conjoint ou les enfants, ou la police découvrent l’addiction paternelle ou grand-paternelle ? Les discours contre le porno, la morale, ne servent à rien, ils le stimulent même. Face aux addictions, la volonté ne suffit pas. Le vécu sexuel est imbriqué avec les images qui ont envahi l’imaginaire. La relation intime entre deux personnes se fait en pensant à une 3ème, une 4ème déjà rencontrée, visionnée.
C’est le chemin de l’exploitation de l’autre, de l’enfant, des jeux sexuels, de l’échangisme, des tournantes des adultes comme des jeunes. Les sociologues découvrent que la sexualité humaine ne se porte pas si bien (certains disent très bien !?), malgré l’inondation des informations en tout genre. Pas impossible qu’on se soit trompé de route, mais pas question de se remettre en question.

L’important est que celui ou celle qui se sent traversé(e) de pulsions qu’il sait dangereuses (même les plus minimes) puisse se confier sans tarder dans la vérité pour s’en libérer. Evidemment, se confier ne suffit pas. Le chemin peut être long pour se libérer vraiment et définitivement. Il faut être suivi de semaine en semaine et pas de mois en mois.

Où sont les dangers du porno addictifs pensent certains ? C’est la liberté qui est en jeu. Oui, mais où risque-t-elle de conduire ? Sinon de passer de l’image à la réalité dans le viol d’adultes ou d’enfants. Conseiller en la matière, nécessite écoute, empathie, mise en grande confiance, qui facilite les confidences sur ces sujets intimes si difficiles à exprimer, d’homme à homme ou de femme à femme. Il n’est pas certain qu’un spécialiste de la sexologie soit nécessaire.

Comment éviter le porno après la puberté ?

Il est donc nécessaire de préparer la future jeune fille dès l’âge de 8-9 ans à ce qui va lui arriver bientôt, sa puberté. C’est le rôle essentiel de sa maman ou de sa grand-mère ou d’une grande soeur.. Elles doivent aussi lui expliquer comment fonctionnent les garçons. Le père peut ajouter sa note qui n’est pas sans importance. Celui qui te dit ”je t’aime pour toujours”, en réalité n’en sait rien; ou « si je ne couche pas avec toi, je meurs… », tu le laisses mourir, il ressuscitera en moins de 3 jours. Les garçons, il faut les faire attendre, longtemps, longtemps, car leurs pulsions sexuelles dominent souvent leurs sentiments… Et si tel ou tel ne peut pas attendre, pas de souci, il en trouvera une autre que toi-même et tu n’auras plus la moindre attirance amoureuse pour lui.

Quant aux garçons, ils doivent impérativement recevoir l’information de leur père ou d’un grand père, grand frère aîné… qui sait parler de ces sujets avec délicatesse et progressivité, car leur puberté met du temps à se construire. Si vous expliquez trop tôt, le fils vous dira « ça ne m’intéresse pas » et si c’est trop tard,« papa, arrête, j’en sais plus que toi ». Sur ces sujets délicats, il faut savoir ce qu’il y a à dire, et comment le dire, rien à montrer, éventuellement quelques dessins, mais ils sont dans les livres des Sciences de la Vie et de la Terre (SVT). Du porno, il doit être averti. Le mieux est de lui expliquer à quoi sert le porno : à l’exploiter, à le rendre dépendant, à le tromper, à lui piquer de l’argent, à lui montrer ce que n’est pas l’amour. Le plus important : les filles, les jeunes filles ne doivent et ne souhaitent pas être exploitées, comme toi même. Le porno ne respecte pas les personnes, ni celui ou celle qui joue la scène, ni celles et ceux qui regardent avec avidité, en général en se cachant des autres pour assouvir leurs fantasmes et leur ignorance.

Car l’essentiel, entre jeunes c’est l’évolution progressive qu’ils perçoivent. L’attirance puis l’amitié et éventuellement l’amour qui se construisent, bien plus que le sexe. Non pas un sentiment vague et inconsistant qui ne dure pas, mais un sentiment, puis des sentiments qui évoluent pas à pas, ce qui demande du temps. Ces sentiments s’affirment donc ou se réduisent au fil du temps, de l’observation, de dialogues, de perspectives sérieuses quand on regarde dans la même direction.

Avec les jeunes il est important d’être cash : ainsi face aux 5 B** de la modernité, pourquoi ne pas proposer les 5 A** de l’avenir. Il est bon d’expliquer que l’amour ce n’est pas d’abord un sexe qui cherche un autre sexe, mais ce qui demande du temps et de l’amour : un coeur qui cherche un autre coeur.

Pr Henri Joyeux

*Le bondage est une pratique sexuelle sadomasochiste dans laquelle un des partenaires est attaché.

** Boire, Bouffer, Bronzer, Bander et Baiser..
Apprendre, Attendre, Agir, Aider le tout pour Aimer en vérité.

NB/ Suivent
les livres de la méthode pédagogique originale adaptée à l’âge des jeunes ”Santé Amour Sexualité”, de l’humour et de l’amour, de 4 à 20 ans.
l’article du journal le Monde du 1er septembre 2021

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