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Categories: Lettres | Published On: 31 janvier 2023 |

Lettre 1 : LES CERTITUDES

MÉFIEZ VOUS DES NOMBREUSES FAUSSES INFORMATIONS

Certains journalistes ne m’ont jamais interrogé,mais ils ont colporté le fait que j’étais un anti-vax et même leur porte-parole. Pourquoi cette magnifique fake news a-t-elle pris dès 2016 ? Elle préparait la loi des 11 vaccins obligatoires. Comment la faire digérer aux familles ? Il fallait un bouc émissaire de surcroit universitaire. Les influenceurs, pas plus que les collègues, n’ont lu l’ouvrage que j’ai publié en 2015, face à la forêt vierge vaccinale « Vaccins comment s’y retrouver ». Ce livre n’a pas une phrase antivax. Il a été validé par un collègue ancien président de l’académie de médecine, qui n’a pas souhaité le préfacer du fait du « qu’en dira-t-on à l’académie (1)? ». Il était gêné par le fait que n’étant pas aveuglé par les discours officiels, je mettais en avant les abus, devenant ainsi lanceur d’alerte par différentes déclarations publiques. Il s’en est suivi un tombereau d’insultes publiques, qui m’ont décidé à résister et rester dans la vérité scientifique et la santé.

La loi Buzyn des 11 vaccins obligatoires s’est construite à partir de deux affirmations ministérielles ciselées par des spécialistes de la communication afin de convaincre tout autant les académies que le grand public. Ils y sont parvenus.

« la vaccination ça ne se discute pas(2)» et « des enfants meurent de la rougeole(3) aujourd’hui en France, dans la patrie de Pasteur ce n’est pas admissible…»

Selon https://vaccination-info-service.fr la loi fut votée le 30 décembre 2017 par une assemblée nationale aux ordres du pouvoir, aveuglée par des déclarations publicitaires.

Suivait l’application de la loi : « Enfants nés à partir du 1er janvier 2018 : la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’Haemophilus influenzae b, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons et la rubéole est obligatoire jusqu’à 2 ans. Ils doivent donc être vaccinés (sauf contre-indication médicale reconnue contre ces onze maladies) pour pouvoir être admis en crèche, à l’école, en garderie, en colonie de vacances ou toute autre collectivité d’enfants.
Voilà de quoi augmenter le stress de parents : pour la future admission à la crèche, à un moment où des familles programment un bébé, après être sûrs d’avoir la place en crèche dès le 3ème mois. Les mamans doivent reprendre le travail à ce moment-là. La loi sur ce sujet devrait changer si l’on veut respecter la maternité et soutenir ceux qui désirent avoir des enfants. Mais où est la politique familiale en France et qui la promeut ? Les institutions responsables de ce sujet sont soutenus financièrement par l’Etat.

Qu’attendent les familles ? Six mois de congé parental et enfin le salaire parental au moins au SMIC(4), pour tout parent français s’occupant d’au moins 3 enfants non scolarisés.

OÙ SONT LES ABUS et LEURS DANGERS ?

  • Terroriser les parents en imposant une vaccination contre 6 maladies à 2 mois après la naissance en une seule injection dont l’hépatite B(5) avec un vaccin qu’il faudra renouveler avant 25-30 ans, pour ceux qui courent des risques réels. Cela n’a pas de sens, si les parents, la plupart, ne sont pas porteurs du virus de l’hépatite B. Alors comment faire pour avoir droit à la crèche, puisque le carnet de vaccination doit être tamponné à jour ? Les familles, comme moi-même, ne sont pas opposées aux vaccins, mais posent des questions pertinentes, parfaitement justifiées. Voir sur le tableau qui suit le nombre de vaccins que le nourrisson doit recevoir jusqu’au 4ème 5ème mois et la quantité d’aluminium qui lui est injectée.
  • Faire croire que la dose d’aluminium dans les vaccins est infinitésimale fait partie des nombreuses fake news caractérisées, bien présentées et orchestrées par les communicants(6) qui sont chargés de tranquilliser le public et ainsi le tromper
    L’Etat impose donc pendant la première année de vie du nourrisson l’injection intramusculaire via le sang, au total de 3,835mg à 4,675mg selon les vaccins utilisés, de sels d’aluminium hydroxyde ou phosphate. Nous sommes au-delà des doses tolérables officiellement, calculées quand l’aluminium est administré par voie digestive selon le poids de l’enfant. Comment peut-on confondre l’administration d’aluminium par voie orale dont 1% au maximum passe dans le sang, à celle injectée directement par voie intramusculaire ? Ces doses vont se cumuler dans l’organisme du nourrisson.

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  • L’aluminium n’est présent dans aucune réaction biologique dans l’organisme humain ou animal. Il est biopersistant et bioaccumulable, mais où ? Dans au minimum les os, les reins, le foie, le système immunitaire et le cerveau(7) où il est retrouvé. Là il crée de l’inflammation chronique avec des conséquences pathologiques certaines largement publiées dans les journaux de très bon niveau scientifique : perturbations du système immunitaire conduisant aux allergies, aux maladies auto-immunes et même aux cancers.
  • Pourquoi l’aluminium a-t-il disparu des vaccins vétérinaires ? Tout simplement du fait de la présence de cancers très graves (des sarcomes) au point d’injection ou ailleurs dans le corps. Chez les chats en particulier, la disparition de l’aluminium des vaccins a permis de voir quasiment disparaître ces sarcomes. Ce métal est-il en cause ? Il est logique de se poser la question et de demander aux chercheurs de démontrer scientifiquement qu’il n’y est pour rien ou l’inverse. Dans le doute mieux vaut s’abstenir. Or les recherches concernant la présence de l’aluminium dans les vaccins qui devaient être financées par l’État, ne le sont pas. Évidemment ce ne sont pas les fabricants qui ont des stocks considérables à écouler qui les financeront. Ils financent heureusement la recherche pour les traitements.
  • Pourquoi les vaccins pour les nourrissons contiennent-ils de l’aluminium ? Il est curieux que les publications scientifiques vétérinaires ne suffisent pas(8). La présence de l’aluminium dans les vaccins humains a-t-elle une justification réelle ? NON. Le phosphate de calcium utilisé auparavant était un excellent adjuvant et sans danger. Nul doute que des adjuvants moins dangereux, en particulier végétaux existent aussi. Le principe de précaution doit prévaloir

Quant aux recherches sur ce sujet majeur, relations aluminium et pathologies liées, tels les sarcomes(9) chez les enfants, elles ne sont pas financées. Les familles n’ont droit à aucune explication, avec toute pour toute réponse les vaccins ne sont pas en cause.
Toutes les publications scientifiques que nous avons analysées dans notre ouvrage « Refusez l’aluminium… Plaidoyer pour des vaccins sûrs et sans danger » sont très sérieuses. Elles sont occultées par le milieu scientifique des académies (voir note 2), car la puissance des fabricants de vaccins est gigantesque. Les stocks vaccinaux sont énormes et on tranquillise – sachant parfaitement les dangers de l’aluminium – en affirmant que l’on cherche d’autres adjuvants plus sûrs et sans danger, en particulier des végétaux pour la mode végan.

  • Aucune famille n’a contesté le classique DTP obligatoire vers 18-24 mois avec ou sans un adjuvant naturel. Le plus sûr des adjuvants était le phosphate de calcium, utilisé lorsque le système immunitaire du nourrisson est parvenu à maturité. Pourquoi imposer les vaccins dès 2 mois après la naissance ? Aucune statistique, aucune étude comparative n’a apporté la preuve que les enfants étaient plus malades et mourraient parce qu’ils étaient vaccinés trop tard.
  • L’allaitement maternel n’est pas pris en compte, comme le recommande l’OMS (10): allaitement intégral par la maman en bonne santé 6 mois, puis une année matin et soir, ce qui correspond à la meilleure protection immunitaire du nourrisson, jusqu’à ce que son immunité soit mature et parfaitement active (1000 jours après sa conception). Quelles études, – en dehors de celles fournies par les fabricants et leurs affiliés – ont démontré la nécessité de stimuler le système immunitaire quasiment dès la naissance et même de plus en plus souvent in utero ?

UN MARCHE CONCURRENTIEL MONDIAL POUR 9 LABORATOIRES

La cible du marché des vaccins, en termes de marketing est tout simplement la population mondiale actuelle de 7,888 milliards de personnes. Les objectifs de recherche sont assez simples, faciles à comprendre et même à accepter par une bonne communication : prévenir le maximum de maladies, pourquoi pas toutes, par la vaccination, unique ou multiple. Un grand rêve.

Neuf laboratoires se disputent le marché mondial : Sanofi-Pasteur(11), GSK(12) (GlaxoSmithKline), Merck(13), Pfizer(14), Novartis(15), Janssen(16), Moderna(17), Astrazeneca(18), Valneva(19). Tous sont cotés en bourse dans une concurrence acharnée pour séduire et capter le maximum d’actionnaires. C’est la loi du marché.

Beaucoup de familles conscientes de la dangerosité de la composition de nombreux vaccins, cherchent à l’étranger des formules en particulier sans aluminium. Malheureusement ils ne les trouveront pas. Le marché est mondial et même si les fabricants sont différents, ils se ressemblent à quelques nuances près.

VACCINS ACTUELS : FAIRE SAVOIR AUX MÉDECINS ET AUX FAMILLES

La vaccinologie n’est pas une science exacte, elle dépend d’abord des défenses immunitaires de chaque patient. Les capacités de l’organisme à se défendre face aux intrus (bactéries, virus, champignons, parasites..) varient d’une personne à l’autre. On parle d’immunocompétence et à l’opposé d’immunodépression plus fréquente chez les personnes âgées ou atteintes de comorbidités. Seul le médecin référent a la connaissance pour apprécier l’état immunitaire de son patient (nourrissons, enfants et adultes), par l’interrogatoire sur son état de santé(20), l’examen clinique et une simple prise de sang si nécessaire.

 

Le rôle d’un vrai vaccin est double :

– éviter à celui qui le reçoit, la maladie pour laquelle il est vacciné ;
– éviter de transmettre la maladie quand elle est transmissible par voie respiratoire (grippe, tuberculose, covid…), sexuelle (papilloma virus = HPV, ou même HIV, virus du Sida), cutané (Ebola, zona, herpès).

Avec ces deux objectifs, le médecin injecte un ou plusieurs antigènes : bactérien (bactérie entière atténuée ou fragment de celle-ci) ou antigènes viral-viraux (virus atténué(s) ou fragment de virus) dans le corps par voie intramusculaire.

Le système immunitaire de qualité du vacciné réagit en quelques jours ou semaines en fabriquant des anticorps libérés par des cellules spécialisées. Elles sont capables alors de mémoriser l’antigène afin de le neutraliser grâce aux anticorps. Si l’antigène atteint l’organisme une ou plusieurs fois successivement, les anticorps à nouveau fabriqués neutraliseront les antigènes et la maladie ne se développera pas. Voir pour plus détails notre livre paru en 2022, Ed. Rocher, « Face aux virus, bactéries… boostez vos défenses immunitaires. L’Immunité : votre premier vaccin. »

Ainsi la maladie est évitée. C’est ce que l’on observe avec le classique et très efficace vaccin DTP pour éviter ces trois maladies très connues et dangereuses : la Diphtérie, le Tétanos, la Poliomyélite. La vaccination les a quasiment éradiquées de nos pays, mais les vaccins restent nécessaires du fait des mouvements de population chez des personnes fragilisées par les guerres.

Contre la Rougeole(21), les Oreillons et la Rubéole, les 3 virus atténués sont présents ensemble dans le même vaccin ROR qui ne contient pas d’aluminium. Le nourrisson ne peut le recevoir selon la loi actuelle avant l’âge de 11-12 mois, car son système immunitaire n’est pas totalement mature. Il devient mature à partir de 18-24 mois soit environ 1000 jours après sa conception. Injecter 3 virus atténués dans le même vaccin, le ROR, est suffisamment immunogène pour éviter de stimuler l’immunité avec un adjuvant.

N’oubliez pas que l’enfant ne peut être vacciné que lorsqu’il est en bonne santé.

La capacité du système immunitaire à réagir est loin d’être constante. C’est pourquoi il faut renouveler la vaccination chez certains patients.
Cela a été observé avec les oreillons, maladie contre laquelle une 3ème vaccination serait peut être nécessaire au moins aux USA(22).

Au sujet des rappels vaccinaux

Il peut être nécessaire d’ajouter un ou des rappels selon la capacité immunogène des vaccins, selon l’âge aussi du patient, car la capacité du système immunitaire à fabriquer des anticorps peut se réduire avec l’âge ou la maladie. Le fabricant du vaccin devrait le préciser sur la notice de l’emballage(23), mais préfère multiplier les doses d’une manière systématique. Dans le doute, la prescription du dosage des anticorps par une petite prise de sang, permet de justifier ou non la nécessité du rappel. Peu de médecins le savent et le prescrivent.

Le rappel est certainement utile chez les personnes âgées de plus de 65 ans ou en comorbidité (surpoids-obésité, diabète, hypertension artérielle, cancers en cours de traitements ou avec des séquelles lourdes, syndrome de dépression immunologique lié au virus HIV (Sida). Il en est de même du Sida-A lié à un âge très avancé (décrit très justement par le Nobel Luc Montagnier), où une nouvelle vaccination peut être nécessaire, quand le système immunitaire est naturellement affaibli(24). Le dosage des anticorps est le meilleur moyen de savoir si le patient a vraiment besoin d’être re-vacciné.

Pourquoi des adjuvants ?

La vaccination de plus en plus précoce, poussée par les fabricants et le monde politique haut placé, ayant avec lui des liens étroits, a dû ajouter à la composition des vaccins ce qu’on a appelé des adjuvants.

Leur but est de stimuler artificiellement le système immunitaire, insuffisant ou immature. Après quelques hésitations, l’adjuvant le moins dangereux proposé par les chercheurs français, fut le phosphate de calcium, très efficace et sans danger car sa composition n’est pas étrangère au corps humain. Les américains que nous avons suivis par erreur nous ont imposé de remplacer le phosphate de calcium par des dérivés du mercure (désormais supprimés) puis l’aluminium sous forme de sel, hydroxyde ou phosphate. Nous en avons vu rapidement les dangers ci-dessus.

QUELS CONSEILS DE RESISTANCE POUR LES FAMILLES ?

Affirmer que l’on est favorable à la vaccination à certaines conditions.

  1. Demander aux médecins, pharmaciens, et aux fabricants, des vaccins SANS l’adjuvant aluminium, en utilisant des adjuvants sans danger (phosphate de calcium ou végétaux). Peu importe les stocks de vaccins aluminés, la santé des enfants est prioritaire. Des vaccins sans cet adjuvant ont été longtemps fabriqués et peuvent l’être à nouveau.
  2. Refuser la vaccination contre l’hépatite B à 2 mois comme à 24 mois, sauf si l’un des parents est porteur du virus.

S’unir avec d’autres familles amies, après avoir acquis la formation d’assistance maternelle, pour garder les enfants au moins jusqu’à trois ans. Ou créer une crèche parentale
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https://www.acepp.asso.fr › creche-parentale

Une des solutions les plus sûres reste la garde à domicile, seuls ou en garde partagée. Pour ce mode de garde, ce sont les familles qui choisissent librement leurs employés et l’état ne peut les contrôler. Malheureusement, ce mode de garde est le plus cher, car l’état contrôleur aide évidemment beaucoup moins.

Suivez les conseils de Lucie sur notre site :

https://www.famillessanteprevention.org/conseils-de-sante/immunite-vaccins/seul-moyen-de-reporter-lobligation-vaccinale-la-garde-a-domicile/

Conseiller aux jeunes mères en bonne santé d’allaiter leurs enfants, selon les recommandations de l’OMS au moins 6 mois intégralement et en plus une année matin et soir. C’est le meilleur moyen de protéger l’immunité de l’enfant jusqu’à ce que son système immunitaire soit arrivé à maturité.

 

Accepter à 1 an la vaccination ROR qui ne contient pas d’aluminium, mais seulement quand l’enfant est en pleine santé.

 

La lettre n°2 qui suivra vous informera sur les incertitudes, celles liées aux vaccins contre les coronavirus, leurs conséquences sur la santé, les nouveaux vaccins proposés contre la Covid, leur composition.

 

Dans la lettre n°3, nous verrons aussi quelles sont les personnes qui ont vraiment besoin du vaccin contre l’hépatite B et aussi celles qui ont vraiment besoin du vaccin contre les papilloma virus que l’Etat cherche à imposer aux enfants entre 9 et 12 ans et leurs risques.

Faites circuler autour de vous très largement cette première  lettre gratuite pour TOUTES LES FAMILLES et n’hésitez pas à nous poser des questions personnelles et confidentielles de santé, en devenant membre correspondant de www.famillessanteprevention.org

Bien à vous tous.

Pr Henri Joyeux

1. Sponsorisée directement ou indirectement, comme toutes les académies, par les lobbies très puissants de la Santé et de la Recherche privée. Si l’Etat finance de nombreux chercheurs, il finance de moins en moins leur recherche, ils doivent trouver les financements dans le privé et en sont donc très souvent dépendants.
2. Marisol Touraine qui disait l’inverse du fait de la présence de l’aluminium dans les vaccins en avril 2012 avant d’être ministre.
3. Dixit un premier ministre mal conseillé. En 2021 : 3 cas ont été hospitalisés, aucun en service de réanimation ; 2 cas présentaient une pneumopathie. Aucune encéphalite et aucun décès ne sont survenus.
4. Si vous êtes rémunéré à hauteur du Smic, vous ne pourrez désormais plus percevoir un salaire inférieur à 1 353,07 euros net par mois si vous travaillez à temps complet.
5. Les personnes de moins de 25 ans contractent l’infection à la suite de rapports sexuels non protégés, du partage de matériel d’injection de drogues, ou d’interventions donnant lieu à une exposition percutanée. https://www.canada.ca/fr/sante
6. Sur un réseau people fort diffusé sans aucune valeur scientifique : « Antivax : Les sels d’aluminium dans les vaccins, vraie inquiétude mais faux danger ? et « La ministre de la Santé écarte toute nocivité des adjuvants dans les vaccins – 20 Minutes avec AFP – Publié le 27/07/17 à 12h57 — Mis à jour le 27/07/17 à 13h08
7. Voir : Toxic Story, Romain Gherardi, Actes Sud, octobre 2016 et réédition en avril 2019, et mon livre « Refusez l’aluminium dans tous les produits de santé – Plaidoyer pour des vaccins sûrs et sans danger ». Ed Rocher 2022
8. Les Etats-Unis autorisent depuis le 29 décembre 2022 la mise sur le marché de produits sans recourir à l’expérimentation animale. Les défenseurs de la cause animale le réclamaient fortement. En France les tests sont encore imposés sur au moins 2 espèces de mammifères, mais cela ne durera pas pour les mêmes raisons qu’aux US.
9. Pour l’Institut Curie certains facteurs favorisent la survenue des sarcomes : l’exposition à des toxiques : chlorure de vinyle, dioxyde de thorium, dioxine et pesticides sont suspectés, ou à des virus (herpès, VIH). Quelles études pour affirmer que l’aluminium n’est pas en cause ?
10. Pensez à la puissance du lobby des laits maternisés…
11. Chiffre d’affaires vaccins 6 milliards dont 2 avec les vaccins contre la grippe.
12. Le nouveau GSK devrait générer un chiffre d’affaires de plus de 38 milliards d’euros.
13. Le chiffre d’affaires de l’entreprise a augmenté de 50%, à 15,9 milliards de dollars. Les ventes du laboratoire américain Merck ont bondi au premier trimestre, dopées par son nouveau traitement anti-Covid molnupiravir ou Lagevrio (anti-viral expérimental), dont il a vendu pour 3,2 milliards de dollars.
14. Le chiffre d’affaires de Pfizer bondit au premier trimestre, dopé par le vaccin anti-Covid. Le groupe pharmaceutique a enregistré un chiffre d’affaires de 25,7 milliards de dollars au premier trimestre, en hausse de 77 % sur un an. Pfizer envisage de dégager environ 32 milliards de dollars cette année grâce aux ventes de son vaccin à ARN messager, co-développé avec BioNTech.
15. C’était en 2010, Novartis a affiché des résultats en forte hausse au 1er trimestre. Le groupe pharmaceutique bâlois a vu son chiffre d’affaires progresser de 25% à 12,1 milliards de dollars, grâce notamment aux ventes des vaccins contre la grippe A (H1N1), qui se sont montées à 1,1 milliard de dollars. En 2022, le résultat net du groupe sort de l’ordinaire, à 24 milliards.
16. Johnson & Johnson (Janssen) le laboratoire américain a pu s’appuyer sur le vaccin à vecteur viral contre le Covid-19 de sa filiale Janssen, qui a déjà rapporté 2,4 Mrds $.
17. En février 2022, Moderna annonce avoir dégagé un chiffre d’affaires de 18,5 milliards de dollars en 2021, dont 17,7 milliards liés à la vente de 807 millions de doses de vaccins. Qui a payé ? Pour quels résultats ?
18. Le chiffre d’affaires global du groupe a augmenté de 56% sur un an à 11,39 milliards de dollars au premier trimestre, dépassant les attentes des analystes. Il est notamment tiré par l’oncologie et les médicaments liés au covid.
19. Chiffre d’affaires total de €348,1 millions en 2021 contre €110,3 millions en 2020 – une hausse de 216 %.
20. Taille, poids, appétit, régularité et état des évacuations urinaires et digestives, transpiration, état psychologique, sommeil réparateur + formule sanguine avec le taux des lymphocytes et le dosage de la protéine inflammatoire la CRP.
21. Le vaccin Rouvax uniquement contre la Rougeole n’est plus commercialisé depuis novembre 2017- En cas de contact ou de voyage dans des pays de forte endémicité, les enfants âgés de 6 à 8 mois peuvent recevoir une dose de ce vaccin monovalent, Il est donc indispensable de le refabriquer. Les familles le réclament dans le monde entier et ce sera le meilleur moyen d’éradiquer définitivement la Rougeole surtout dans les pays où les enfants malnutris (carencés en vitamine A en particulier) sont en danger.
22. Disentangling the causes of mumps reemergence in the United States.
Deven V. Gokhale & all – Edited by Alan Hastings, University of California Davis, Davis, CA;
January 9, 2023 120 (3) e2207595120- https://doi.org/10.1073/pnas.220759512021. Le vaccin Rouvax uniquement contre la Rougeole n’est plus commercialisé depuis novembre 2017- En cas de contact ou de voyage dans des pays de forte endémicité, les enfants âgés de 6 à 8 mois peuvent recevoir une dose de ce vaccin monovalent, Il est donc indispensable de le refabriquer. Les familles le réclament dans le monde entier et ce sera le meilleur moyen d’éradiquer définitivement la Rougeole surtout dans les pays où les enfants malnutris (carencés en vitamine A en particulier) sont en danger.
23.  Il doit préciser aussi le nombre de jours après la vaccination où le vaccin est efficace : 1 à 2 mois après l’injection contre le virus de l’hépatite B, sa durée d’efficacité réelle, inférieure à
Il doit préciser aussi le nombre de jours après la vaccination où le vaccin est efficace : 1 à 2 mois après l’injection contre le virus de l’hépatite B, sa durée d’efficacité réelle, inférieure à 25- 30 ans pour l’hépatite B. L’efficacité du vaccin contre la grippe ne dépasse pas 35% des personnes vaccinées et pas avant 15 jours après le vaccin.

24.  Il est possible de l’améliorer en modifiant les habitudes alimentaires : voir notre livre « Mangez Mieux et Meilleur de 0 à 100 ans ».

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Luc Montagnier a découvert en 1983 le virus du sida (VIH, Virus de l’Immunodéficience Humaine). Il a très vite compris qu’un vaccin contre ce retrovirus à ARN, serait très difficile à mettre au point du fait de ses mutations permanentes. Quarante plus tard le vaccin n’existe toujours pas.