Un nouveau livre vous alerte
Toxic Story – Deux ou trois vérités embarassantes sur les adjuvants des vaccins
L’ALUMINIUM
La vaccination un sujet mondial
Il ne s’agit pas d’être contre les vaccins, ce serait à la fois scientifiquement faux, dangereux et stupide. Il s’agit d’informer le grand public et en particulier prioritairement les jeunes parents des réalités vaccinales aujourd’hui. En France 820 000 enfants naissent chaque année et au total un peu plus de 5 millions dans l’Union européenne, 4 millions aux USA et 2 millions en Russie. Dans les différents pays d’Europe les obligations vaccinales sont très différentes (voir mes lettres « Les Vaccins en Europe et en France » et « Alerte Vaccinale de Rentrée Scolaire ».
On comprend que les laboratoires fabricants souhaitent unifier à toute la population européenne et même mondiale les vaccinations, tant pour les enfants que pour les personnes âgées de plus en plus nombreuses. Mais laquelle ou lesquelles sachant qu’il n’y a pas un seul vaccin contre toutes les maladies ?
Alors, que veut-on imposer en rendant les vaccinations selon les cas obligatoires, exigibles, ou seulement recommandées ? En dehors du cadre strict des épidémies dûment vérifiées, il faut informer les médecins référents et spécialistes, des pédiatres aux gériatres, responsables de leurs prescriptions.
En réalité les fabricants cherchent à banaliser les actes vaccinaux pour qu’ils puissent être réalisés par un personnel paramédical, en pharmacie, par les infirmièr(e)s, sage femmes.. Mais qui sera responsable en cas de complication(s) ? L’État qui impose, le médecin prescripteur ou le vaccinateur rémunéré qui suit des publicités bien construites ? Ces publicités consistent à stimuler au maximum l’émotion pour la médicaliser et forcer telle ou telle vaccination, en particulier le vaccin Hexavalent que les pharmacies ont stocké et cherchent à écouler ? Je me dois de rappeler que lorsque le médecin prescrit une vaccination non obligatoire, sa responsabilité est engagée sur le fondement des règles classiques de la responsabilité médicale selon l’article L1142-1 du Code de Santé publique.
Les inquiétudes parentales à propos des vaccins
On comprend l’inquiétude des parents quand on leur impose de faire vacciner leur enfant s’ils veulent avoir une place en crèche. En réalité il peut y entrer sans être vacciné – car il ne risque pas de contaminer les autres déjà vaccinés. Les parents ont 3 mois pour le faire vacciner ou obtenir un vrai certificat de contre-indication. La présence d’Aluminium dans un vaccin en est une, comme vous allez comprendre.
Comment résister à l’école quand on cherche à imposer la vaccination contre les cancers du col de l’utérus et de la zone ORL chez garçons et filles respectivement à 9 et 11 ans, alors que les spécialistes eux-mêmes ne sont pas d’accord entre eux et qu’il y a de réels dangers répertoriés déjà chez les jeunes filles.
L’Éducation nationale est utilisée comme un ”acteur majeur de la propagande vaccinale”
C’est ce que l’on retrouve avec la contraception distribuée dès le collège selon le Décret n° 2016-683 du 26 mai 2016 relatif à la délivrance de la contraception d’urgence par les infirmiers scolaires, hors des avis parentaux.
Inquiétude encore quand les parents ne trouvent pas le seul vaccin, obligatoire selon la loi avant les 18 mois du nourrisson, contre les 3 maladies Diphtérie-Tétanos- Polio (DTP).
Or les pharmacies en France possèdent des stocks – qu’ils ont payé aux fabricants et qu’il faut donc écouler – de vaccins hexavalents, contre ces 3 maladies auxquelles sont ajoutées 3 maladies supplémentaires, la coqueluche, la méningite à hemophilus influenzae b (celui-ci est nécessaire chez les enfants présentant un état d’immunodépression congénital ou acquis et selon le fabricant il peut être responsable d’affections psychiatriques tels irritabilité ou cris incontrôlables ou anormaux) ; le sixième est contre l’hépatite B dont aucun nourrisson n’a besoin, sauf si l’un de ses parents est atteint par le virus de l’hépatite B.
Un lobbying adapté à chaque pays parfaitement au point
Les fabricants, même s’ils sont en concurrence, ont organisé sciemment la pénurie du seul vaccin trivalent DTP et développent une publicité relayée par les autorités sanitaires pour vacciner les nourrissons le plus tôt possible, dès l’âge de 2 mois et de plus en plus souvent pendant la grossesse. Ils cherchent par un lobbying mondial à sortir l’acte vaccinal de la responsabilité du médecin. Considérant que l’acte vaccinal est sans danger puisqu’il ”sauve des vies”, on peut en déposséder le médecin référent.
D’abord en sourdine, puis de plus en plus fort, on cherche à rendre les vaccins exigibles, de plus en plus tôt chez les nourrissons et désormais chez les personnes âgées et ce dans le cadre d’une uniformité européenne, mondiale même. L’académie de médecine en France constituée des ”sommités médicales”, pour la plupart retraitées, loin de la médecine au jour le jour, entre consciemment ou pas, selon des intérêts convergents, dans la perspective de Big pharma.
Comprendre la science vaccinale et son empire
La ”vaccinologie” n’est pas une science exacte contrairement à ce que les fabricants et leurs experts associés veulent vous faire croire. Ses effets positifs ou négatifs dépendent de l’âge du patient, de son état de santé, de la maladie que l’on veut éviter (est-elle contagieuse ou non et quel est le mode de contagion ?), de la composition du vaccin lui-même, des réactions que l’on peut en attendre.
À aucun moment, les autorités ne font état des capacités immunologiques du nourrisson qui arrive naturellement à maturité 1000 jours après sa conception soit pas avant l’âge de 2 ans. Ne sont soulignés l’importance ni du microbiote vaginal de la mère (accouchement naturel ou césariennes de plus en plus proposées), ni de l’allaitement maternel selon les recommandations de l’OMS (allaitement intégral de 6 mois, et partiel, matin et soir, avant et au retour du travail jusqu’aux deux ans de l’enfant).
Aujourd’hui contrecarrer pour des raisons de santé chez les nouveau-nés la réception des « initiations et défenses immunitaires naturelles » n’a aucune justification sanitaire. Cela peut au contraire nuire aux enfants concernés par ce type de surmédicalisation, sur-vaccination. On le mesure déjà avec les innombrables allergies observées chez les enfants, jamais vues dans le passé et même les dangers incontestables des vaccinations des grands prématurés que nous avons rapportées dans notre livre « Vaccins comment s’y retrouver ? » publié au Rocher (1).
Dans ce livre nous présentons les 59 maladies infectieuses, dues à des bactéries, des virus, des champignons, des parasites, leurs signes principaux, les modes de contamination, l’intérêt de tel ou tel vaccin, simple ou combiné, leur composition surtout quand elle est discutable, et les éventuelles complications liées en particulier aux adjuvants nécessaires pour stimuler un système immunitaire immature.
Certains vaccins peuvent être à l’origine de complications graves que médecins et spécialistes doivent connaître afin de bien apprécier les indications et les contre-indications dont ils sont les premiers responsables.
Promouvoir la généralisation vaccinale avec pour argument publicitaire simpliste « les vaccins sont sans danger et sauvent des vies » c’était à peu près exact autrefois dans le vaste cadre des épidémies qui décimaient des populations (variole, tuberculose, peste, choléra…).
Ce n’est plus vrai aujourd’hui dans nos pays grâce l’hygiène individuelle et collective avec ses réseaux d’eaux sécurisés et l’organisation remarquable du traitement des déchets.
La vaccination est passée de l’acte collectif à l’acte individuel. Évidemment il est plus facile, mais peu réfléchi, pour les autorités de santé de suivre les recommandations des fabricants et experts, en général très liés entre eux. C’est ce qu’on appelle les liens d’intérêts, pas toujours déclarés ou à minima. Ainsi la généralisation vaccinale sera payée par la solidarité nationale, soit par l’assurance maladie (sécurité sociale + mutuelles complémentaires), soit par le patient lui-même bien conditionné pour accepter.
Il est facile de comprendre qu’on a désormais affaire à un empire vaccinal qui utilise sa puissance financière à programmer des campagnes publicitaires à grande échelle destinée à médicaliser l’émotion avec 4 types d’arguments : 1. la recherche scientifique ne se trompe pas ; 2. la vaccination a une efficacité certaine pour prévenir telle ou telle maladie dans toute une population ; 3. les quelques cas de complications – généralement non reconnus par les fabricants qui se protègent systématiquement – ne sont rien en comparaison avec le nombre de cas de maladies évitées ; 4. la vaccination permet des économies considérables de jours d’hospitalisation à la société tout entière.
Ainsi sont fournis à la science mathématique et statistique, les données qui permettent de construire analyses et méta-analyses collectant le maximum de publications pour obtenir les résultats qui satisfont Big pharma. Son objectif est évidemment mondial, d’autant plus que les grands laboratoires fabricants, même s’ils développent une rude concurrence, sont capables de s’entendre pour se répartir les marchés et les prix de chaque type de vaccin.
Des lanceurs d’alerte nécessaires
Le rôle des universitaires, enseignants et chercheurs est évidemment d’éduquer les futurs médecins et chercheurs, mais aussi de faire passer au grand public concerné les informations dont il a besoin pour se guider lui même dans les arcanes de la santé et de la science.
La connaissance scientifique du grand public croit sans cesse à tel point que sur des maladies particulières, il peut être le plus au fait des dernières découvertes. Il s’organise aussi en associations et devient capable de faire des actions juridiques de groupe pour se défendre contre l’exploitation dont il peut être l’objet, telle la vente liée, illégale qui impose 6 vaccinations alors que 3 suffisent.
Lisez l’ouvrage de mon collègue le Pr Romain Gherardi, « Toxic Story – Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins »
Il a été publié en octobre 2016 chez Actes Sud, et complète de manière lumineuse, celui que j’ai publié avec plusieurs collègues.
Il vous permettra de comprendre comment un chercheur chevronné, directeur d’une équipe de recherche à la pointe de la science des muscles et du système nerveux a découvert une maladie spécifique due à la présence de l’adjuvant ”Aluminium” dans les vaccins : la myofasciite à macrophages, et ses manifestations générales telles que douleurs musculaires et articulaires, fatigue chronique, troubles cognitifs et manifestations auto-immunes associées.
Ce sont des inflammations chroniques, dans différentes parties du corps que nous avons pu répertorier dans notre livre et dans une lettre supplémentaire sur l’Aluminium et ses dangers.
À partir de la découverte fondamentale de mon collègue Romain Gherardi, il a vu se développer d’innombrables obstacles, pseudo-scientifiques, politiques, économiques qu’il a mis du temps à saisir. Son livre se lit comme un thriller à la portée de tous. Comme l’écrit son éditeur, « le mot vaccin lui a fermé toutes les portes », ce qui l’a heureusement stimulé : il a choisi le parti de la science, le parti des patients.
Tous les parents doivent lire son livre afin de comprendre qu’en l’état actuel de la science vaccinale, il ne faut pas accepter un vaccin contenant l’adjuvant aluminium, pour un nouveau-né comme pour un adulte, qu’il s’agisse de la première injection ou d’un rappel.
Pour être parfaitement informé au sujet de la science vaccinale je vous conseille de visionner sur YouTube l’émission d’Envoyé Spécial vaccins et médicaments du 11 février 2016
Quant à la pétition à propos de la pénurie vaccinale et de l’arnaque des fabricants qui font semblant de ne rien entendre, – alors qu’elle est signée par plus de 1 million 85 00 personnes-, continuez à la diffuser, à la faire lire et signer par celles et ceux qui ne sont pas contre les obligations vaccinales, mais veulent que soit re-fabriqué le DTP sans Aluminium, car cet adjuvant a fait la preuve de sa nocivité (voir aussi ma lettre 94 sur le sujet « Moi l’Aluminium, je n’ai rien à faire dans un vaccin »)
Big pharma et les autorités de santé en France et en Europe cherchent à faire taire les lanceurs d’alerte que nous sommes. Nous restons au service de la Science et du grand public de plus en plus compétent, qui refuse de se faire manipuler par des informations pseudo-scientifiques qui cherchent à l’exploiter.
Bien cordialement à toutes les familles
Pr Henri Joyeux
Notes
(1) Nous réservons nos droits d’auteur à la diffusion des informations et aux collègues qui nous ont conseillés, anonymement.
La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information santé indépendant et gratuit, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Pour vous inscrire à la lettre, cliquez ici.
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Luc Montagnier a découvert en 1983 le virus du sida (VIH, Virus de l’Immunodéficience Humaine). Il a très vite compris qu’un vaccin contre ce retrovirus à ARN, serait très difficile à mettre au point du fait de ses mutations permanentes. Quarante plus tard le vaccin n’existe toujours pas.