Voici l’interview réalisée par Breizh-info sur l’ouvrage « Lutter contre le stress, un remède anti-cancer », à paraître le 3 octobre 2016 , l’occasion de donner des précisons sur les démêlés en cours avec l’ordre des Médecins.
Breizh-info : Henri-Charles Geffroy écrivait « tu vivras cent ans ». Pourtant, force est de constater que la plupart des hommes et des femmes, meurent bien avant cent ans. Pour quelles raisons ?
HJ : Nous avons effectivement une carte de vie et des gènes pour vivre le siècle en bonne santé et peut être un peu plus, la tête sur les épaules et les pieds dans les bottes. Malheureusement nous ne connaissons pas assez les comportements de santé. Nous connaissons les maladies et leurs signes, comment les détecter avec échographie, scanner, IRM, prises de sang…, mais nous ne savons pas comment les éviter donc les prévenir.
La médecine coûte de plus en plus cher. Il y a de plus en plus de malades jeunes, femmes ou hommes avec des cancers du sein, de la prostate, du poumon, du tube digestif haut ou bas, des lymphomes … Notre société est en mauvaise santé avec les cancers, le sida, les maladies auto-immunes, l’obésité, les diabètes.. Nous sommes tellement débordés par les malades que nous ne pensons plus aux causes de toutes ces maladies.
Breizh-info : Votre dernier livre s’intéresse au rapport entre le stress et le cancer. Qu’avez vous découvert ?
HJ : Oui c’est un sujet majeur, dans notre société très stressée généralement et individuellement : stress aigus, chroniques se succèdent dans la vie quotidienne et nous font sécréter des hormones en particulier adrénaline, cortisol et des neurotransmetteurs qui dépriment nos défenses immunitaires. Ainsi selon l’épigénétique et les spécificités individuelles d’ordre génétique, les maladies peuvent toucher tous les organes et différemment d’une personne à l’autre.
Breizh-info : Le cancer était-il autant répandu qu’aujourd’hui, avant le 20ème siècle ? Pour quelles raisons ? Les hommes et les femmes n’étaient ils pas eux aussi, dans ces différentes périodes, soumis à des stress importants ?
HJ : On a quitté les rythmes de la nature. On écoute les catastrophes en boucle quand elles arrivent à nos yeux, nos oreilles. On fait une confiance absolue dans la science et on ne sait pas très bien comment fonctionnent nos reins, notre coeur, nos surrénales, nos ovaires (on veut supprimer les cycles féminins !), nos testicules, notre cerveau…
C’est pour cela que je publie régulièrement des lettres gratuitement, d’information pour la prévention santé sur mon site www.professeur-joyeux.com et que je développe l’association Familles Santé Prévention.
Breizh-info.com : le stress se transmet-il lorsque l’on enfante et que l’on éduque ? Quels sont les principaux conseils que vous donneriez pour le chasser de nos vies ?
HJ : Mieux nous connaître, nous aimer avec nos qualités et nos défauts, les uns neutralisant les autres pour éviter l’orgueil ou la bêtise. Avoir une activité intellectuelle qui fait travailler nos esprits, notre mémoire et qui nous plaît. Aider les enfants à développer toutes leurs qualités en les guidant sur les chemins où ils se sentent bien, s’épanouissent se cultivent intellectuellement,
Faire travailler notre corps avec nos dix doigts de mains et de pieds pour créer, imaginer, développer et avoir une activité physique qui nous fait fabriquer les hormones de la joie, du partage, du bonheur en même temps qu’on transpire et évacue les pollutions environnementales. Attention de ne pas négliger les réponses spirituelles au sens que l’on donne à la vie. Il ne s’agit pas d’imposer ou d’être prosélyte. Il s’agit de comprendre le besoin de transcendance, qui est présent même chez les personnes les plus agnostiques ou athées.
Breizh-info : L’intestin – et les mauvais traitements que nous lui faisons subir tout au long de nos vies – n’est-il pas finalement la clé pour une santé optimale et pour « vivre cent ans » ?
HJ : Il est une des clés, qui dépend de nos bonnes ou mauvaises habitudes alimentaires. Les mauvaises sont responsables de porosité intestinale qui laisse passer dans nos organes de mauvaises molécules en trop, des hormones en excès, des facteurs de croissance, trop de calcium animal et trop de sucres, pas assez de bonnes graisses.
Il faut apprendre au plus grand nombre à changer les habitudes alimentaires,
Breizh-info : Où en est votre conflit avec l’Ordre des Médecins ? Que comptez-vous faire ?
HJ : Je fais appel comme le conseil de l’ordre de mon département à Montpellier qui n’accepte pas une sanction intolérable descendue de la capitale. Vous imaginez bien que je ne me laisserai pas faire après plus de 40 ans d’expérience de la chirurgie cancérologique et de consultations au service des malades en ayant jamais fait de clientèle privée.
Les 2 appels sont suspensifs, cela veut dire que je continue à consulter d’ailleurs gratuitement et à donner des conseils de santé à un grand nombre de personnes en mauvaise santé souvent surtraitées pour ne pas dire mal-traitées par des abus thérapeutiques qui ne font le bonheur que des laboratoires pharmaceutiques.
N’en concluez pas que je suis contre les traitements quand ils sont nécessaires : la chirurgie, les rayons, la chimiothérapie, les vaccins, les statines, les anti-diabétiques, les hypotenseurs, les hormones ou les anti-hormones, les stimulants d’immunité, les anti-facteurs de croissance.
Breizh-info : En cette période de rentrée scolaire, beaucoup de parents se demandent comment pouvoir scolariser leurs enfants sans qu’ils soient vaccinés, le cahier de vaccination étant obligatoire à présenter pour pouvoir être inscrit à l’école. Que leur conseillez-vous ?
HJ : NON et NON le cahier de vaccination n’est pas obligatoire. Il ne faut pas se laisser faire.
Est obligatoire avant 18 mois la vaccination contre le DTP je précise sans aluminium, lequel aluminium a été enlevé des vaccins vétérinaires. Plus tard c’est au cas pas cas. C’est au médecin référent et à lui seul de juger de la nécessité ou non de vacciner contre telle ou telle maladie. C’est pour les familles et les médecins plus encore que j’ai publié ce gros travail d’explication du système immunitaire à la portée de tous intitulé « Vaccins, comment s’y retrouver ? ».
Breizh-info : Pourquoi n’êtes vous pas soutenu, publiquement, par un plus grand nombre de médecins et de chercheurs ? Où en est le débat sur la vaccination annoncée par Marisol Touraine ?
HJ : J’ai beaucoup de soutiens, de médecins, de collègues qui ont voulu créer une association de soutien ce que j’ai refusé. L’important c’est que l’on obtienne le seul vaccin obligatoire sans aluminium, là est l’essentiel pour les enfants et leurs familles. Il faut aussi tenir compte du fait que des médecins qui me soutiennent n’ont pas envie de subir les foudres du Conseil de l’Ordre national trop politiquement correct et qui devient la courroie de transmission consciente ou inconsciente des fabricants.
Quant à la concertation citoyenne, elle est déjà biaisée par la ministre elle-même, incompétente, elle a dit et maintenue « La vaccination ne se discute pas ! » .
Source
(1) Propos recueillis par Yann Vallerie le 23/09/2016 sur Breizh-info.com
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Luc Montagnier a découvert en 1983 le virus du sida (VIH, Virus de l’Immunodéficience Humaine). Il a très vite compris qu’un vaccin contre ce retrovirus à ARN, serait très difficile à mettre au point du fait de ses mutations permanentes. Quarante plus tard le vaccin n’existe toujours pas.