Fourtillan

Me voici, moi James Parkinson, pour vous déstresser(1)

La semaine dernière Aloïs Alzheimer, que je n’ai pas connu car né bien après moi, a pris les devants en ayant la bonne idée de vous écrire. Il vous a fait part de l’état actuel de la maladie qui porte son nom et des extraordinaires perspectives thérapeutiques les plus récentes. Dans ces moments hors du temps que nous vivons, nous observons l’évolution de la biologie et de la médecine. Elles ne cessent de progresser. Je prends la plume car je sais nombre d’hommes inquiets par cette maladie qui porte mon nom, d’autant plus qu’ils sont de plus en plus jeunes

27 octobre 2016|Lettres, Santé|
Chirurgien Cancérologue et professeur de la Faculté de Médecine de l’Université de Montpellier (professeur honoraire)

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