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Bon à savoir sur les chimiothérapies abusives

Il est vrai qu'il y a des abus avec la chimiothérapie et qu'une personne de 80 ou 85 ans, par exemple, n'a pas systématiquement besoin d'entrer dans un protocole avec une chimiothérapie difficile à supporter, qui risque de raccourcir sa vie au lieu de la prolonger confortablement. Il peut en être de même chez des patients en bout de vie, quand on leur propose des chimiothérapies dans le cadre d'essais thérapeutiques au profit de laboratoires pharmaceutiques qui testent de nouvelles molécules. On leur parle de nouveaux traitements, de ces nouvelles molécules dont on majore les effets positifs pour les faire plus

1 avril 2014|Lettres, Santé|
Chirurgien Cancérologue et professeur de la Faculté de Médecine de l’Université de Montpellier (professeur honoraire)

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