Papillomavirus : Polémique et droit de réponse
Droit de réponse au Professeur Roger Salamon, président du Haut Conseil de santé publique, suite à l'interview parue dans Sud-Ouest 27/10/14 Merci au président du Haut Conseil de Santé Publique de préciser que la vaccination contre les papilloma virus responsables d’infections sexuellement transmissibles et de cancers, n’est pas ”encore” obligatoire. Merci aussi pour sa précision "La dernière (préconisation) date de l'automne et préconise la vaccination gratuite dans les écoles, à partir de 9 ans. C'est vrai." Merci enfin de préciser "Nous la préconisons pour lutter contre les inégalités sociales, car beaucoup de femmes de milieux sociaux défavorisés échappent au dépistage, à savoir le frottis." Pensez
Que penser des vaccins ?
Quelques notions essentielles concernant les vaccinations Pour bien comprendre la vaccination, il faut savoir combien notre système immunitaire est organisé et efficace naturellement (voir aussi mes lettres sur l’immunité, le rôle immunitaire de notre intestin et les cellules de nos organes). La vaccination consiste à stimuler nos réponses immunitaires, qui vont alors s’adapter pour nous protéger contre des bactéries ou des virus. Il s'agit de nous exposer à des formes bactériennes ou virales non pathogènes ou à des composants des micro-organismes auxquels on veut échapper. Les vaccins permettent d’obtenir une réponse protectrice, basée sur la mémoire immunologique, grâce à la production d’anticorps et de globules blancs spécifiques
NON à la vaccination massive des enfants contre les papillomavirus
Chères lectrices, chers lecteurs, Ma lettre d'aujourd'hui est un peu particulière. Elle est liée à une actualité brulante et révoltante. Vous êtes des centaines de milliers à lire mes lettres chaque semaine et je vous remercie de votre confiance. Aujourd'hui nous devons être des millions pour protéger nos enfants d'une nouvelle folie. Alors s'il vous plaît, lisez-bien mon message ci-dessous et faites-le suivre à chacun de vos contacts. Pr Henri Joyeux Vaccin contre les papillomavirus Pas dans les écoles, pas dès 9 ans !! Madame, Monsieur, Le Haut Conseil de Santé publique a publié un rapport qui préconise :
Le (futur) scandale des vaccins contre le cancer du col de l’utérus
Chères lectrices, chers lecteurs, Voici ce qu’il faut savoir sur ces vaccins mis sur le marché dès 2006 : Ces vaccins sont évidemment une très belle affaire de business pour deux laboratoires internationaux, Merck aux USA associé à Sanofi Pasteur en Europe pour le Gardasil (prévision de 2 milliards de dollars de vente), et GlaxoSmithKline pour le Cervarix. Les innombrables publicités, y compris vers le grand public, en témoignent. Le Gardasil est proposé aux jeunes filles de 9 ans à 26 ans. Il n’est efficace qu’à titre préventif contre les papillomavirus types 6, 11, 16, 18. Il est donc dit quadrivalent. Le Cervarix est aussi sur
Cancer du col de l’utérus : une terrible menace
Chères lectrices et chers lecteurs, Vacciner des enfants systématiquement contre les virus responsables plus tard des cancers du col utérin, du pénis chez l’homme et de cancers de la zone ORL [1] ou du canal anal chez hommes ou femmes : oui ou non ? Là est la vraie question. Pour y répondre, je vais expliquer aujourd’hui en quoi consiste ce type de cancers. La semaine prochaine, je ferai le point sur les vaccins promus par les autorités de santé. Fin 2013, les médias titraient : « Malgré la polémique, les vaccins anti-HPV restent recommandés. » Polémique ou réalité ? Plaintes futiles ou réelles complications ? C’est parce